samedi 11 juillet 2020

Tarte feuilletée aux tomates et pesto de roquette


Cette recette m'a permis de finir quelques feuilles de roquette et un rond de pâte feuilletée dans lequel j'avais coupé un cercle pour une autre recette. Je n'ai même pas pris la peine de refaçonner la pâte en un cercle parfait.
Une petite recette parfaite pour une belle journée d'été quand on n'a pas envie de trop cuisiner. J'ai utilisé des belles tomates "anciennes" achetées chez un producteur.

Ingrédients :


1 pâte feuilletée 

6 tomates bien mûres (grappe, cœur de bœuf…)
50 g de roquette + 1 poignée pour la décoration
1 cuillère à soupe de pignons de pin
10 cl d’huile d’olive
1 gousse d’ail
50 g de parmesan
sel et poivre du moulin


Préparation :

Préchauffez le four à 210°c 
Épluchez l’ail et retirez le germe
Râpez 20 g de parmesan 
Mixez la roquette, les pignons de pin, le parmesan râpé, l’ail et l’huile d’olive 
Salez et poivrez
Réserver 
Coupez les tomates en tranches assez fines et disposez-les sur la pâte feuilletée
Disposez le pesto sur les tomates
Salez et poivrez et arrosez d’un filet d’huile d’olive 


Faites cuire pendant 20 min au four préchauffé jusqu’à ce que la pâte soit dorée
Servez avec le reste de roquette et le parmesan restant détaillé en copeaux.

J'ai congelé le pesto qui restait pour une prochaine utilisation.

Musique et images de Corse

Paroles et traduction 
Nè in tarra ne'n celu
Sensu passu ùn avarà?

E case sò quì à curà

Ricordi da sbelu

È sbagliu d'eternità
Nè in tarra nè in celu
Lu mio tempu si stà
Aghju vistu l'infernu
D'una mamma à u spiccà
Una ghjurnata tetra
Di quelle chì ponu turnà

Nè in tarra nè in celu

U mo pientu ci và

Nè in celu, nè in tarra
Sò cote à lampà
Aghju l'anima chì cotra
Forse da l'alta sarra
Quella ch'omu n'ùn sà
Palisatu sicretu...
Corcia felicità

Nè in celu, nè in tarra
Sò cote à lampà
Aghju l’anima chì cotra
Forse da l’alta sarra
Quella ch’omu n’ùn sà
Palisatu sicretu...
Corcia felicità

°-°-°

Le pas n’a-t-il de sens
Ni sur terre, ni dans les cieux ?
Nos maisons veillent jalousement
Sur des souvenirs à faire hurler
L’éternité flouée
Mon temps ne réside
Ni sur terre, ni dans les cieux

J’ai vu l’enfer
d’une mère anéantie
Et le sourire qui, en vain, tentait de l’enlacer
C’était une de ces journées ténébreuses
Qui hantent chaque retour
Ni sur terre, ni dans les cieux
Mon pleur ne trouve refuge

On ne peut donc jeter de pierres
Ni sur terre ni dans les cieux ?
Mon âme gèle,
Est-ce parce que depuis les plus hautes cimes,
Celles même que l’on croyait inaccessibles
Un secret s’est dévoilé ?
Pauvre bonheur !

1 commentaire:

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