En italien : Chi ha soldi vive felice, chi non ne ha mangia alici !
Traduction : Celui qui a de l'argent est heureux, celui qui n'en a pas mange des anchois ! (sauf qu'en italien ça rime)
En zappant les chaînes en replay je suis tombée sur un reportage culinaire sur la région de Naples où je suis allée 2 fois, et je constate qu'il y a bien des endroits très intéressants que je connais pas encore.
Positano sur la côte Almafitaine
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Monsieur Gennaro Castiello prépare la colatura de façon artisanale avec les anchois péchés au lamparo dans le golfe de Salerne, qui sont plus petits et plus goûteux que ceux de l'Atlantique. Mais il ajoute qu'il n'a rien inventé : les Romains dans l'antiquité en consommaient déjà il y a 2000 ans, c'était le garum. par contre les Romains laissaient les viscères, donc le résultat était beaucoup plus fort et ils ajoutaient des herbes aromatiques.
Gennaro enlève les têtes et les viscères et installe les anchois dans un tonneau en bois de châtaignier en couches en croix dos contre ventre pour éviter que le poisson ne fermente trop. On sale avec du sel de Trapani (Sicile), le tout prend la forme d'une couronne et ensuite on ferme avec un couvercle en bois sur lequel on pose un poids.
Quand le temps de maturation est passé on perce un trou au fond du tonneau et un liquide coule, d'où le nom de colatura.
En regardant ce documentaire je me suis soudain rappelé que j'avais acheté cette sauce l'année dernière à Rome au marché de Testaccio car j'avais entendu Luana Belmondo parler de ce produit, donc je me suis empressée d'en acheter quand je l'ai vu au marché. Mais une fois rentrée à la maison je l'ai rangée et complètement oubliée.
Dans son restaurant "Aquapazza" Monsieur Castiello sert des paccheri di Gragnano aux anchois et colatura. Il insiste : il faut sans faute des pâtes de Gragnano qui sont rugueuses et laissent beaucoup d'amidon nécessaire pour la sauce. Le cuisinier se sert d'un flacon de colatura à pipette. Avec un petit flacon de 100 ml on en a assez pour toute une vie, car il suffit d'ajouter juste quelques gouttes à votre préparation.
C'est donc la première recette que je prépare avec cette sauce.
Ingrédients pour 1 personne :
1 oignon émincé
quelques petites tomates coupées en deux
1 piment vert
quelques anchois frais étêtés et vidés
90 g de paccheri di Gragnano
quelques feuilles de basilic
quelques gouttes de colatura
huile d'olive
Préparation :
Cuire les pâtes selon les indications sur l'emballage
La cuisson de la garniture est très rapide
Pendant la cuisson des pâtes faire revenir l'oignon dans l'huile d'olive
Ajouter le piment coupé en gros morceaux
Ajouter les tomates
Ajouter un peu d'eau de cuisson des pâtes
Ajouter les anchois
Mélanger les pâtes cuites à la préparation
Ajouter quelques gouttes de colatura
Garnir avec des feuilles de basilic
Pronto !
J'ai adoré ce plat original qu'il ne faut surtout pas cuire trop longtemps.
D'autres recettes avec la colatura suivront certainement.
Ma colatura ne vient pas de Cetara, mais de Sicile |
C'est donc la première recette que je prépare avec cette sauce.
Ingrédients pour 1 personne :
1 oignon émincé
quelques petites tomates coupées en deux
1 piment vert
quelques anchois frais étêtés et vidés
90 g de paccheri di Gragnano
quelques feuilles de basilic
quelques gouttes de colatura
huile d'olive
Préparation :
Cuire les pâtes selon les indications sur l'emballage
La cuisson de la garniture est très rapide
Pendant la cuisson des pâtes faire revenir l'oignon dans l'huile d'olive
Ajouter le piment coupé en gros morceaux
Ajouter les tomates
Ajouter un peu d'eau de cuisson des pâtes
Ajouter les anchois
Mélanger les pâtes cuites à la préparation
Ajouter quelques gouttes de colatura
Garnir avec des feuilles de basilic
Pronto !
J'ai adoré ce plat original qu'il ne faut surtout pas cuire trop longtemps.
D'autres recettes avec la colatura suivront certainement.
Non sono venuto per salutare
Che io non lo conosco
Il tono giusto del saluto
E nemmeno le parole
Per la circostanza
E dove mettere le mani
Dove guardare
Quale muro della stanza
Guardare
Non sono venuto per salutare
Non sono venuto per salutare
Perché io non lo capisco
Il tempo giusto del saluto
Che trova le parole
E nega la distanza
E poi libera le mani
E lascia guardare
Di là del muro di una stanza
Guardare
Non sono venuto per salutare
Che io non lo conosco
Il tono giusto del saluto
E nemmeno le parole
Per la circostanza
E dove mettere le mani
Dove guardare
Quale muro della stanza
Guardare
Non sono venuto per salutare
Non sono venuto per salutare
Perché io non lo capisco
Il tempo giusto del saluto
Che trova le parole
E nega la distanza
E poi libera le mani
E lascia guardare
Di là del muro di una stanza
Guardare
Non sono venuto per salutare
Non torneremo mai
Sui nostri passi mai
Non ci sarà mai posto
Neanche di nascosto
Nei giorni andati, mai
Non torneremo più
Nemmeno ricordare
Che è sempre troppo tardi
Il tempo dei ricordi
E niente fa tornare
Lasciami andare
Non sono venuto per salutare
Però adesso lo riconosco
Il tempo giusto del saluto
E conosco le parole
Per la circostanza
E posso stringere le mani
Posso guardare
Qualunque muro di una stanza
Guardare
Non torneremo mai
Sui nostri passi, mai
Non ci sarà mai posto
Neanche di nascosto nei giorni andati, mai
Non torneremo più
E forse a ricordare
Ma è sempre troppo tardi
Il tempo dei ricordi
E niente fa tornare
Lasciami andare
Lasciami andare
Lasciami andare
Sui nostri passi mai
Non ci sarà mai posto
Neanche di nascosto
Nei giorni andati, mai
Non torneremo più
Nemmeno ricordare
Che è sempre troppo tardi
Il tempo dei ricordi
E niente fa tornare
Lasciami andare
Non sono venuto per salutare
Però adesso lo riconosco
Il tempo giusto del saluto
E conosco le parole
Per la circostanza
E posso stringere le mani
Posso guardare
Qualunque muro di una stanza
Guardare
Non torneremo mai
Sui nostri passi, mai
Non ci sarà mai posto
Neanche di nascosto nei giorni andati, mai
Non torneremo più
E forse a ricordare
Ma è sempre troppo tardi
Il tempo dei ricordi
E niente fa tornare
Lasciami andare
Lasciami andare
Lasciami andare
Parolier : Gianmaria Testa