Après notre balade aux Orgues d'Ille sur Têt nous partons à la Miellerie Rayon d'Or qui se trouve juste à côté des Orgues.
C'est la plus grande miellerie en Occitanie : 120 tonnes de miel par an avec la récolte d'une trentaine d'apiculteurs.
Pour 1 kilo de miel l'abeille doit faire 60.000 voyages. Un kilo de miel représente 120.000 kilomètres, soit 3 tours de la terre !
La miellerie fabrique aussi divers produits à base de miel, dont plus de 7 tonnes de pains d'épices, bonbons, confitures au miel, tourons, nougats...
Tous ces articles sont en vente dans leur boutique ...
On ne part bien sûr pas les mains vides. A part du miel j'ai aussi acheté un pain d'épices qui m'a servi pendant la période des fêtes de fin d'année pour la confection des Petits toasts.
Le temps passe et tout le monde commence à avoir faim. Vers 13h30 on arrive au Restaurant La Petite Auberge à Vinça, où l'on nous a préparé un buffet de hors d'œuvres et de desserts ainsi que des aiguillettes de poulet à la crème, un sauté de pommes de terre et des haricots verts.
La Vice Présidente Annick sert la sangria
Un large choix d'entrées
Et encore des entrées
La patronne Marie vérifie les buffets
Aiguillettes de poulet à la crème, sauté de pommes de terre et des haricots verts
Le buffet de desserts
Et la journée n'est pas encore finie. Notre dernière visite concerne un producteur de kiwi qui nous a fait visiter son exploitation et où on pouvait acheter sa production de fruits. On nous a même offert un kilo de kiwis.
Merci aux organisatrices des Amis du Pays Catalan qui me font découvrir notre région.
D'un de mes derniers voyages en Hollande j'avais ramené de chez ma sœur un paquet de "Poulet à la tanzanienne" en vente chez Lidl là-bas. C'est un paquet contenant juste quelques ingrédients, mais il faut rajouter soi-même du poulet, de l'oignon, et des légumes. Je n'achète jamais ces préparations, mais je ne voulais pas jeter les conserves et épices de ma sœur.
Récemment j'ai préparé le contenu avec les ingrédients que je devais ajouter et à ma grande surprise ce fut très bon.
Résultat avec le paquet
Quelque temps après j'ai voulu préparer ce plat pour mon invité du mercredi en inventant un peu la recette en cherchant par ci par là des idées comment préparer la marinade et la sauce qui étaient contenues dans le paquet. Si vous aimez le sucré salé je vous recommande cette recette.
Ingrédients :
400 g de blanc de poulet coupé en morceaux
1 yaourt à la grec
curcuma
huile végétale
1 oignon émincé
1 gousse d'ail écrasée
1 poivron rouge coupé en lamelles
100 g de céleri coupé en petits morceaux
gingembre râpé
purée de piment (à volonté)
1 càc de 5 épices 1 boîte de 450 g de tomates concassées
sel et poivre
1 mangue (150 g coupée en cubes)
250 g de riz
(en option quelques haricots verts ou des bouquets de chou fleur)
Préparation :
Mélanger le yaourt avec le curcuma et l'huile et ajouter les morceaux de poulet
Laisser mariner 10 minutes
Dans un wok faire revenir les morceaux de poulet sans ajouter de matière grasse
Ajouter l'oignon, le céleri, le poivron et faire cuire 2 minutes Ajouter le gingembre, les tomates, la purée de piment et la càc de 5 épices Laisser mijoter 15 minutes Pendant ce temps cuire le riz selon les indications sur l'emballage Vérifier l'assaisonnement en ajoutant du sel et du poivre
Juste avant de servir ajouter les morceaux de mangue le temps pour les réchauffer Vous pouvez si vous aimez saupoudrer le plat avec de la noix de coco râpée.
Ce n'est pas la première fois que Yotam Ottolenghi compare ses préparations de légumes à un morceau de viande, pourtant Yotam n'est pas végétarien et encore moins végane, mais sa cuisine propose souvent des plats préparés uniquement avec des ingrédients d'origine végétale. Une autre référence à la viande est la recette de Portobello steaks.
Ingrédients :
8 poivrons rouges pointus sel et poivre 100 g de farine 4 œufs 100 g de panko 60 g de graines de sésame blanches et/ou noires
16 feuilles de makrut lime (que j'ai remplacées par du zeste de citron vert râpé) 1 càs de nori coupé en paillettes 600 ml d'huile de tournesol 2 citrons verts coupés en quartiers pour accompagner les "schnitzels" J'ai accompagné les poivrons avec des "bouquets merveilleux" que j'ai achetés chez le producteur "Les Jardins de Pabirans"
Préparation :
Préchauffer le four à 250° ou 230° chaleur tournante
Faire une incision de 5 cm verticalement à la base de chaque poivron, puis placer sur une grande plaque à pâtisserie tapissée de papier sulfurisé
Rôtir pendant 16 minutes, en retournant les poivrons à mi-cuisson, jusqu'à ce qu'ils soient bien cuits et commencent à noircir un peu
Transférer dans un tamis, côté coupé vers le bas, pour égoutter tout liquide, en prenant soin de garder les tiges intactes
Une fois suffisamment refroidis pour être manipulé, retirer soigneusement le plus de peau possible sans percer la chair, puis saupoudrer chaque poivron d'une bonne pincée de sel et réserver
Préparer trois récipients peu profonds suffisamment longs pour s'adapter à la longueur des poivrons
Mélanger la farine avec 1 cuillère à café de sel et beaucoup de poivre noir dans le premier récipient
Mettre les œufs dans le deuxième récipient
Dans le dernier récipient, mélanger la chapelure panko, les graines de sésame, les feuilles de citron vert, le nori, 2 cuillères à café de sel et une généreuse mouture de poivre
Placer une grande grille en métal sur un plateau (sur lequel placer les poivrons enrobés de panko).
Préparer une assiette recouverte de papier absorbant (sur lequel placer les poivrons un fois frits)
Tremper chaque poivron d'abord dans la farine, puis dans l'œuf et enfin dans le mélange de panko, en secouant tout excès au fur et à mesure, et poser sur la grille pendant que vous répétez avec le reste des poivrons
Verser l'huile dans une grande sauteuse ou un wok à bords hauts et placer sur feu moyen-vif
Une fois bien chaud (180°C si vous avez une sonde de température), faire revenir les poivrons deux par deux pour ne pas surcharger la poêle
Plonger soigneusement chaque poivron dans l'huile et faire frire pendant 1½ à 2 minutes de chaque côté, jusqu'à ce qu'il soit doré et croustillant
Transférer sur l'assiette tapissée de papier de cuisine au fur et à mesure
Servir les poivrons aussitôt, avec le zeste de citron vert et un peu de sel saupoudré dessus et les quartiers de citron vert.
Quand le marchand de fruits et légumes m'a offert un grand bouquet de persil je n'allais pas le refuser, même si j'avais encore un gros bouquet à la maison. J'en ai profité pour enfin préparer ce velouté de persil qui nécessite pas mal de cette herbe aromatique.
Ingrédients :
1 l de bouillon de poule (pour les végétariens bouillon de légumes) 400 g de pommes de terre fondantes 300 g de persil 1,25 dl de crème fraîche sel et poivre
Pour la garniture :
2 oignons de printemps 1 branche de céleri 1 gousse d'ail 2 càs d'huile d'olive 1 càc de curry (ou plus selon les goûts)
Préparation :
Eplucher et couper en dés les pommes de terre Séparer les feuilles des tiges du persil Rincer les feuilles de persil sous l'eau froide Verser le bouillon dans un faitout et porter à ébullition Ajouter les dés de pommes de terre et cuire sur feu moyen en environ 10 minutes Ajouter ensuite les feuilles de persil et continuer la cuisson encore 10 minutes Mixer le velouté avec le mixeur plongeant Ajouter la crème fraîche et mélanger Saler et poivre Laisser la soupe cuire sur feu très doux
Pendant ce temps préparer la garniture :
Couper les oignons de printemps en fines rondelles Couper la branche de céleri en demi-lune Eplucher la gousse d'ail et émincer Dans une petite poêle chauffer l'huile d'olive et ajouter l'oignon, l'ail, le céleri et le curry Continuer la cuisson jusqu'à ce que les légumes soient cuits
Verser la garniture au milieu de l'assiette et servir le velouté autour. Et servi ce qui restait le lendemain en amuse-bouche :
L'Association APCM nous a proposé une visite guidée des Caves Byrrh le 28 novembre 2023. J'avais appris qu'après l'incendie on y avait réalisé pas mal de travaux et à vrai dire je suis restée un peu sur ma faim. Je suis bien contente d'avoir visité la cave en février 2011 avant leur transformation. Aujourd'hui on ne peut plus visiter la magnifique marquise du hall d'expédition, l'œuvre de Gustave Eiffel.
Un peu d'histoire :
Les frères Violet se fixent à Thuir où ils ouvrent une boutique. C'est le début d'une grande aventure. Au début ils ne disposaient que de quelques futs qu'ils remplacèrent un peu plus tard par des foudres plus importants achetés d'occasion. Ils développent leur commerce et élargissent leur activité de négoce de vins importés d'Espagne ( Malaga et Tarragone).
En mariant certains grands crus du Roussillon, en les aromatisant avec des plantes et en les tonifiant avec des écorces de quinquina, Simon Violet crée un apéritif qui est alors commercialisé sous le nom de "Vin tonique et hygiénique au quinquina". En cette deuxième moitié du XIXème siècle, les vins médicinaux et ceux à base de quinquina sont réputés comme reconstituant. C'est Simon lui-même qui assure la livraison de ce précieux breuvage chez les pharmaciens , les épiciers et les cafés de la région.
La quintonine était comme un symbole de guérison, elle était sur quasi toutes les ordonnances en post hospitalisation et sortie de grippe... La quintonine signait le retour à la santé avec son petit verre réconfortant. On le donnait même aux enfants. J'y ai consacré un article.
Dans les années 60 la Quintonine était vendue en pharmacie sous la forme de deux flacons de 90ml. J'en ramenais en Hollande et j'ajoutais cet extrait au vin rouge. La Quintonine donne bonne mine ! Mais la production a été arrêtée en 2011. Par hasard je suis tombée sur le site Tradition Natureoù j'ai commandé du quinquina sous forme d'épices qu'on ajoute au vin rouge pour obtenir un apéritif fortifiant. Mon invité du mercredi apprécie beaucoup, car cette boisson lui rappelle sa jeunesse quand sa mère servait ce fortifiant à ses enfants.
En 1910 l'entreprise compte 750 employés et distribue plus de 30 million de litre de Byrrh par an.
L'usine est ensuite reliée au réseau ferroviaire. La marquise du hall d'expédition (qu'on ne peut plus visiter) est l'œuvre de Gustave Eiffel.
Cette cuve d'une capacité de 1 000 200 litres détient le record du monde. Elle a été mise en vin en 1951 et il aura fallu prés de 15 ans pour la construire.
Aujourd'hui moins en vogue notamment chez les jeunes, ce ne sont plus que 330 000 litres de Byrrh qui sont sortis d'usine.
Mais on ne quitte pas les Caves Byrrh sans acheter une bouteille de cet apéritif mondialement connu.
La panna cotta est très simple à réaliser, elle se prépare à l'avance et se décline à l'infini, aussi bien sucrée que salée. J'ai publié déjà plusieurs recettes de panna cottasur mon blog. Lors d'un séjour en Italie j'ai hésité si j'allais acheter un pot de crème à la pistache, mais puis je l'ai remis avec regrets à sa place. J'avais déjà fait plusieurs achats et on ne peut pas ramener beaucoup quand on voyage avec un vol low cost.
Alors à ma grande surprise j'ai vu cette crème de pistaches chez Lidl pendant la semaine italienne et j'ai sauté sur l'occasion.
Ingrédients :
500 ml de crème fraîche 150 g de crème aux pistaches 100 g de sucre semoule 6 g de gélatine en feuilles
Préparation :
Dans une casserole verser la crème fraîche liquide, le sucre et la crème de pistaches Chauffer sur feu moyen en mélangeant souvent Faire ramollir les feuilles de gélatine dans de l'eau froide
Hors du feu ajouter la gélatine essorée entre les mains au mélange de crème fraîche Bien mélanger pour faire fondre la gélatine
Verser la panna cotta à l'aide d'une louche dans les verres et laisser refroidir Mettre au réfrigérateur au moins 4 heures
Après avoir préparé des crozets pour la première fois j'ai eu envie de découvrir d'autres préparations avec ces petites pâtes. (En ce moment on a des températures estivales, mais quand j'ai préparé cette recette début mars il faisait encore un peu frisquet...)
Ingrédients :
240 g de crozets (nature ou au sarrasin)
400 g de choux de Bruxelles 4 diots de Savoie 1 oignon 20 cl de vin blanc 1 cube de bouillon de volaille + 80 cl d'eau 40 g de Beaufort huile d'olive sel, poivre
Préparation :
Couper le tronc des choux de Bruxelles et retirer les premières feuilles
Faire blanchir 5 minutes dans une casserole d'eau bouillante
Bien égoutter et couper les choux de Bruxelles en deux
Dans une grande sauteuse faire chauffer un filet d'huile d'olive et faire revenir les choux de Bruxelles 5 min de façon à les faire dorer Pendant ce temps couper les saucisses en rondelles
Peler et émincer finement l'oignon Réserver les choux de Bruxelles et saisir rapidement les rondelles de saucisses. Réserver.
Faire revenir l'oignon puis verser les crozets, mélanger bien puis verser le vin blanc
Laisser évaporer sur feu vif Ajouter les choux de Bruxelles à la sauteuse et cuire comme un risotto en ajoutant le bouillon bien chaud louche par louche En fin de cuisson saler et poivrer au gout puis ajouter les saucisses 2 minutes afin de les réchauffer Hors du feu ajouter le Beaufort fraîchement râpé, mélanger et servir aussitôt.
Moro est un restaurant à Londres qui propose au menu des plats typiquement espagnols, mais aussi des pays du Maghreb, et du Moyen Orient. Les propriétaires du restaurant ont découvert ces cuisines grâce à leurs voyages. Sam et Sam ont sorti plusieurs livres de cuisine dont The Moro Cookbook. Cette recette sort de ce livre. J'en ai noté plusieurs autres que j'espère préparer un de ces jours. Pour cette recette il fallait du chorizo à cuire que je n'ai pas trouvé le jour J et je l'ai donc remplacé par de la soubressade.
Ingrédients :
4 cuillères à soupe d'huile d'olive
1 gros oignon coupé en dés
1 carotte moyenne, coupée en dés
1 branche de céleri, tranché finement
120 g de chorizo à cuisson douce, coupé en cubes de 1 cm (remplacée par de la soubressade)
2 gousses d'ail, tranchées finement
1 cuillère à café de cumin moulu
1 1/2 cuillères à café de feuilles de thym frais finement hachées
2 petits piments rouges séchés, écrasés
2 tomates fraîches ou en conserve, hachées grossièrement
500 g de châtaignes cuites pelées (fraîches ou sous vide), hachées grossièrement
20 fils de safran infusés dans 3-4 cuillères à soupe d'eau bouillante
1 litre d'eau
sel de mer et poivre noir
Préparation :
Dans une grande casserole, faites chauffer l'huile à feu moyen.
Ajoutez l'oignon, la carotte, le céleri, le chorizo et une pincée de sel et faites revenir environ 20 minutes en remuant de temps en temps jusqu'à ce que le tout caramélise et devienne doré.
Cela donne à la soupe une couleur et un goût merveilleusement riches. Ajoutez maintenant l'ail, le cumin, le thym et le piment et faites cuire encore 1 minute, suivi de la tomate et, après environ 2 minutes, des châtaignes.
Remuez bien le tout, puis ajoutez le liquide infusé au safran et l'eau et laissez mijoter environ 10 minutes. Retirez du feu et écrasez-le à la main (avec un presse-purée) jusqu'à ce qu'il soit presque lisse mais avec un peu de texture Assaisonnez avec du sel et du poivre.
J'en avais gardé un peu au congélateur que j'ai servi en amuse à mon invité du mercredi.
Cette recette est tirée du livre Moro The Cookbook
Ce dimanche nous nous sommes retrouvés avec mon fils et sa compagne pour rendre visite à ma sœur. Nous nous sommes promenés dans le parc qui entoure le centre de soins qui avait mis à notre disposition un fauteuil roulant électrique pour rendre possible la sortie à ma sœur. Il faisait un temps magnifique et j'ai découvert le parc et son château qui se trouvent près d'Arnhem.
Location possible à partir de 3 jours. A titre d'exemple : 1 nuit au mois de juin coûte 125 €. La ferme est équipée pour 6 personnes.
Café Oranjerie
L'endroit est idéal pour la promenade ou des balades en vélo.
Nous avons déjeuné ensemble au Restaurant Meneer Pos, qui est également un hôtel. On vous propose plutôt des pettes salades, tartines, croque-monsieur, etc.