Après ma visite de la Basilique Notre Dame de Fourvière je redescends avec le funiculaire pour me rendre à la Place de Bellecour, d'où part le bus Lyon City Tour. Ah, vous me direz que c'est un truc à touristes. Eh oui, je suis une touriste et j'ai l'habitude de prendre les bus hop on hop off dans les grandes villes comme Rome, Naples. Ces bus vous permettent de découvrir les différents quartiers d'une ville, de descendre où vous voulez et reprendre le bus où vous voulez et cela autant de fois que vous voulez pendant la validité de votre ticket.
J'ai découvert ainsi des quartiers que je visiterai pendant mon prochain séjour à Lyon, car pour ce séjour j'avais déjà mon planning complet.
J'ai pu prendre des photos des endroits où passait le bus, elles ne sont pas toujours très réussies, car le bus ne s'arrête pas à ma commande, je dois m'adapter. Mais dans l'ensemble je ne suis pas trop mécontente du résultat.
On admire plusieurs monuments sur la Place des Terreaux :
L'Opéra National que les Lyonnais appellent Le Grille Pain
La Fontaine Bartholdi
et La Mairie
Le bus continue son parcours en longeant la Saône.
Les Quais de la Saône
La Maison Blanchon
L'Eglise Saint Georges
Nous descendons ensuite vers la quartier Confluence que j'ai l'intention de visiter lors de mon prochain séjour à Lyon.
Le Cube Orange appelé par les Lyonnais : la Mimolette
La Sucrière
La Sucrière est un ancien entrepôt qui abrite aujourd'hui un musée et lieu d'évènements. Sur le toit se trouve le Club culturel Le Sucre où sont organisé des soirées, concerts, apéros.
Le Cube Vert
Le Cube Vert a abrité les bureaux d'Euronews, mais d'après ce que j'ai compris et d'après le journal le Monde près d'un tiers des fonds utilisés pour le rachat de la chaîne d'information européenne, sur le point de partir de Lyon, provient de proches du Premier ministre nationaliste hongrois. Mauvais plan.
Musée des Confluences
Je dois visiter ce musée sans faute. Sur ma liste des choses à faire à Lyon.
Cet Hôtel avec son cadre sympa m'inspire pour y réserver une chambre la prochaine fois. Selon la saison le tarif est très intéressant. Le restaurant propose une petite carte sans prétention.
Ensemble de logements
En résumé, si l’imagination des architectes est débordante, la répartition des constructions du quartier Confluence n'est pas complètement délirante. On trouve beaucoup de bureaux, un musée, mais les logements ne sont pas en reste. Nous quittons la Confluence pour monter la colline de la Fourvière.
L'Odéon antique de Lyon
En haut de la colline de la Fourvière on peut apercevoir L'Amphithéâtre (trop tard pour la photo) et L'Odéon. Ce site est adossé à la colline de Fourvière et à côté du plus ancien Amphithéâtre romain de la Gaule.
La Basilique Notre Dame de Fourvière
Nous redescendons vers notre point de départ.
Le marché sur les quais de la Saône
Après le terminus à la Place Bellecour je me dirige peu à peu à pied en direction du restaurant L'Atelier des Augustins où j'ai réservé une table.
Ce bâtiment de la presqu'île à Lyon a abrité le théâtre Bellecour, puis le siège du journal Le Progrès pendant des années jusqu'à la Fnac aujourd'hui.
J'ai dû piquer la photo sur internet, car j'avais oublié de prendre le plat en photo. J'ai bien cherché sur mon téléphone, mais non, j'ai oublié de pendre le plat en photo. C'est râlant ! J'ai préparé ce plat car il me restait un petit brocoli et on ne jette rien !
Ingrédients pour 2 personnes :
2 pommes de terre 250 g de brocoli 1 gousse d'ail 125 g de lard fumé 50 g de beurre sel et poivre
Préparation :
Eplucher les pommes de terre Dans une casserole cuire les pommes de terre à partir d'eau froide salée Ajouter la gousse d'ail et les brocolis au bout de 10 minutes Egoutter
Faire dorer les lardons dans du beurre Ecraser le brocoli légèrement à la fourchette Couper les pommes de terre en tranches Servir le brocoli plus l'ail dans les assiettes Poser les tranches de pommes de terre dessus Garnir avec les lardons Verser le beurre de cuisson des lardons sur les pommes de terre.
Il paraît que c'est une spécialité vendéenne, mais cela aurait pu être un plat hollandais.
A l'occasion de ma réunion à Lyon j'ai fait la rencontre avec le Néerlandais Peter Derksen qui chante des chansons françaises. Tout comme moi il est un expat et vit en France.
Le cobbler ressemble à un crumble, mais ici ce sont les légumes et non pas les fruits qui sont en bas et du pain gratiné au cheddar dessus. Cette recette se trouve dans le livre "La Plaque rapide" de Rukmini Iyer. Un livre rien qu'avec des recettes de plaques au four.
Les choux pointus achetés au Jardin des Pabirans
Ingrédients :
1 chou pointu coupé en tranches de 5mm 1 petit brocoli divisé en petits bouquets 1 petit oignon émincé 2 gousses d'ail râpées 1 càc de flocons de chili 14 feuilles de sauge, la moitié émincées et l'autre moitié laissées entières 250 ml de bouillon de légumes chaud 500 g de crème fraîche 2 càc bombées de moutarde de Dijon 2 œufs 60 g de cheddar râpé 1 càc de sel 250 g de tranches de pain rassis d'1 cm beurrées
Préparation :
Préchauffer le four à 200°
Dans un plat à gratin mélanger le chou, le brocoli, l'oignon, l'ail, les flocons de chili et les feuilles de sauge émincées Verser le bouillon chaud dessus
Battre la crème fraîche avec la moutarde, les œufs, la moitié du cheddar râpé et le sel et verser la moitié sur les légumes
Couvrir les légumes avec les morceaux de pain et verser l'autre moitié sur la préparation Couvrir avec les feuilles de sauge et le cheddar restant
Enfourner 25 minutes jusqu'à ce que le dessus soit doré et croustillant.
S'il en reste pour le lendemain, pas de problème, c'est encore meilleur !
Au programme Geo sur Rai 3 j'avais vu une recette "antiche sapori" et j'ai cru comprendre qu'on utilisait de la chicorée de Catalogna. Comme je n'ai pas accès au replay pour ce programme je n'ai pu le vérifier. Mais pour le reste j'avais noté "en live" toute la recette, comme il m'arrive très souvent.
Au Jardin de Pabirans j'ai trouvé la chicorée de Catalogna que j'ai achetée en me rappelant de la recette que j'avais vue à la télé.
Jardins de Pabirans
La puntarelle appelée aussi chicorée asperge ou chicorée de Catalogne, nous vient d’Italie et plus particulièrement du Latium. C’est une chicorée à feuilles cultivée pour les jeunes pousses ou repousses, cette plante formant en son centre un ensemble de gros bourgeons (puntarelles) qui ressemblent à des asperges.
Au Grand Frais on le trouve avec ces gros bourgeons et au Jardin de Pabirans on le vend sous forme de feuilles.
Ingrédients :
4 tranches de pain rassis bouillon de légumes 3 œufs parmesan et pecorino chicorée de Catalogna (puntarelle) 1 gousse d'ail huile d'olive sel un peu de salade composée
Préparation :
Toaster les tranches de pain au grille pain Dans une poêle poser les tranches de pain toastées et couvrir à hauteur de bouillon chaud Laisser mijoter sur petit feu
Laver et sécher les feuilles de puntarelle Nettoyer la gousse d'ail et couper en deux Dans une poêle chauffer l'huile d'olive, ajouter la gousses d'ail et les puntarelle
Cuire quelques minutes sans trop, juste pour les réduire
Battre les œufs, saler, mélanger avec les fromages râpés Ajouter les feuilles de puntarelle et mélanger Verser le mélange sur les tranches de pain imbibées de bouillon Continuer la cuisson encore quelques minutes
Servir la préparation dans les assiettes et garnir avec quelques feuilles de salade composée.
La chanson You du groupe néerlandais Ten Sharp chantée en italien
L'Association Les Amis du Pays Catalan a organisé une excursion à Toulouse pour assister à un opéra urbain : "Le Gardien du Temple". Mais comme d'habitude quand on va dans la direction de Toulouse on s'arrête d'abord en route pour manger un bon cassoulet ce qui plaît à tout le monde. Cette fois-ci les organisatrices ont choisi l'Hostellerie Etienne pas loin de Castelnaudary.
Le chef surveille la salle pour voir si tout va bien
Un apéritif préparé par la présidente
Salade aux gésiers
Le Cassoulet !
Et le dessert
Vers 14 heures nous arrivons à Toulouse pour assister au spectacle monumental avec les machines extraordinaires de la compagnie La Machine.
Les 3 protagonistes du spectacle sont Astérion le Minotaure qui déambule dans les rues de « sa » ville et qui est rejoint dans son périple par d’autres Machines : Ariane la Grande Araignée et Lillith la Gardienne des Ténèbres… Je n'ai pas eu la chance de voir Ariane.
Si vous cliquez sur ce livret il vous permet de lire le déroulement du spectacle. Inspiré par des récits mythiques, ce projet met en scène des créatures monumentales qui se déplacent dans les rues de la ville rose.
Astérion le Minotaure
Les créatures géantes, conçues par La Machine, sont des robots de plusieurs mètres de hauteur, capables de se mouvoir de manière fluide et impressionnante dans l’espace public. Ces robots, véritable fusion de l’art et de l’ingénierie, semblent presque prendre vie.
Astérion, le Minotaure, règne en tant que Gardien du Temple, pesant 47 tonnes et s'étendant sur 14m de hauteur et 13m de longueur, avec une capacité à bouger tête et bras et à galoper en émettant un souffle retentissant.
Lilith, La Gardienne des Ténèbres, est une femme-scorpion de 38 tonnes qui s'étire jusqu'à 11m de haut et 14m de long, capable de mouvements complexes et de cracher du feu par sa bouche et son dard.
Ariane (photo La Dépêche)
Ariane, la Grande Araignée et demi-sœur d’Astérion, impressionne par son envergure de 20m lorsque ses pattes sont déployées, et son abdomen étonne en libérant de l'eau, sous le regard de ses 10 yeux.
Astérion se met en mouvement
Rencontre d'Astérion et Lilith
A la surprise générale il commence à neiger sur la ville rose en plein mois d'octobre...
Pendant mon récent séjour à Lyon j'ai mangé dans le bouchon lyonnais l'Auberge des Canuts une salade lyonnaise et j'ai remarqué que les lardons étaient assez gros, c'est un détail, mais un détail important à mon goût.
Dorénavant j'achèterai toujours un gros morceau de lard que je découperai moi-même aux dimensions que je veux. Ils sont bien meilleurs que les petits lardons déjà prédécoupés qu'on vend dans des sachets, car ils ont tendance à sécher à la cuisson.
Si on les fait revenir correctement ils seront croustillants de l'extérieur et moelleux à l'intérieur. Essayer c'est l'adopter ! Officiellement on utilise de la frisée, mais on m'a servi un mélange mesclun qui me va très bien. La salade était garnie avec quelques rondelles d'oignons rouge marinés au vinaigre auquel on a ajouté une cuillerée de sucre.
Pickles d'oignon rouge
Ingrédients :
1 morceau de lard fumé salade mélange gourmand pain rassis pour faire des croûtons 1 œuf poché pickles d'oignon rouge
huile neutre vinaigre de vin rouge
moutarde
Préparation :
Laver et sécher la salade Préparer la vinaigrette en émulsionnant la moutarde avec le vinaigre et l'huile ajouter une pincée de sel
Pocher l'œuf dans l'eau frémissante à laquelle on a ajouté un peu de vinaigre blanc
Couper le lard en gros lardons Faire revenir les lardons dans une poêle sans matière grasse sur feu moyen Réserver Couper le pain rassis en cubes et faire dorer dans la même poêle dans la graisse des lardons Mélanger la salade avec la vinaigrette
Dressage :
Dans l'assiette dresser un fond de salade assaisonnée Garnir avec les lardons, les croûtons, quelques pickles d'oignon rouge et l'œuf poché.
Pour la recette d'œufs de caille Bénédictine j'avais besoin de muffins anglais et après quelques recherches j'ai décidé de les faire moi-même car la recette est toute simple. Et d'après ce que j'ai lu ces muffins se gardent bien au frigo ou bien au congélateur en les mettant dans une boîte fermée et couverts de papier absorbant. Après il suffit de les toaster au grille pain. On peut les garnir aux œufs et bacon, tomates mozzarelle, ou bien sucrés à la confiture ou de la pâte à tartiner. Attention : il faut compter environ sur 2h de repos. Les muffins ne se cuisent pas au four, mais dans une poêle sans matière grasse.
Ingrédients pour une dizaine de muffins :
16 cl de lait tiède 1 sachet de levure de boulanger déshydraté (environ 7 g) 1 càc de sucre 250 f de farine 1 grosse pincée de sel 40 g de beurre mou semoule de blé fine (facultatif)
Préparation :
Dans un bol ajouter le lait tiède avec la levure et le sucre puis laisser reposer 10 à 15 minutes Parallèlement mélanger la farine, le sel et le beurre dans un cul de poule puis ajouter le lait avec la levure Pétrir 5 minutes au robot, couvrir Préchauffer le four à 50°, éteindre et laisser monter votre pâte 1 heure à l'intérieur
Fariner le plan de travail Etaler la pâte jusqu'à environ 1½ à 2 cm d'épaisseur A l'aide d'un cercle de 8 cm Ø découper des cercles, enrober de semoule (facultatif), puis disposer sur du papier de cuisson et laisser monter de nouveau 1 heure
Faire chauffer les muffins environ 5 minutes par face dans une poêle à feu doux sans matière grasse.
Recette trouvée sur le site https://www.maspatule.com/
On se moque souvent de la cuisine anglaise, mais avouez qu'ils savent faire de bonnes recettes, et pas que :
Un plat super simple mais délicieux sont les pâtes à l'ail. Je sais que je fais plaisir avec ce plat à mon invité du mercredi. Si ça dépendait de lui je lui servirais toujours des pâtes.
Ingrédients :
400 g de spaghetti 1 dl d'huile d'olive 3 gousses d'ail
1 bouquet de persil 1 piment rouge pecorino râpé sel
Préparation :
Cuire les spaghetti selon les indications sur l'emballage dans de l'eau bouillante salée Dans une poêle verser une bonne quantité d'huile d'olive Chauffer l'huile sur feu vif Couper le piment rouge en deux et verser dans l'huile brûlante Couper les gousses d'ail en fines lamelles Ajouter l'ail dans la poêle et sortir aussitôt du feu pour éviter que l'ail brûle Ajouter le persil émincé
Certains enlèvent le piment, moi je le laisse
Egoutter les pâtes en gardant un verre d'eau de cuisson Ajouter les spaghetti cuits et mélanger avec l'ail et le persil Remettre sur feu doux et ajouter une louche d'eau de cuisson des pâtes Ajouter le pecorino râpé Bien mélanger et si nécessaire ajouter encore un peu d'eau de cuisson pour obtenir une sauce crémeuse avec l'amidon de l'eau de cuisson et le fromage.
Au programme aujourd'hui visite de la Basilique Notre Dame de Fourvière que les lyonnais ont surnommée l’éléphant renversé, rapport à ses quatre tours d’angle qui évoquent les quatre pattes d’un pachyderme. Les quatre tours représentent les vertus cardinales : la Prudence, la Tempérance, la Force et la Justice.
Ma visite était initialement prévue le dimanche matin suivie par un déjeuner au restaurant des Apprentis d'Auteuil, mais quand j'ai appelé pour réserver une table on m'avait répondu que c'était complet depuis longtemps et on m'avait déconseillé de me déplacer ce jour là jusqu'à la Basilique car le Lyon urban trail allait passer par là.
dimanche 30 mars Place Saint Jean Lyon Urban Trail
Suite à cette info j'ai changé ma date de visite. Pour les Apprentis j'irai manger chez eux l'année prochaine. D'ailleurs j'ai déjà commencé à préparer mon planning pour mon séjour à Lyon en 2026.
Selon un spécialiste de l’œuvre de Pierre Bossan, l’architecte à l’origine de la Basilique, la façade de Fourvière serait fortement inspirée de la Mosquée Ketchaoua d’Alger. En comparant les deux édifices, la ressemblance est frappante !
A gauche Notre Dame de Fourvière, à droite la Mosquée Ketchaoua d’Alger
Paraît-il que sa construction résulte d’une promesse faite en 1870 par les lyonnais à leur archevêque, celle de construire sur cette colline une basilique dédiée à la Vierge si la ville est épargnée par les Prussiens.
Il faisait un temps magnifique et à 8 heures j'étais déjà devant la Basilique. Je n'avais pas le courage d'y monter à pied et le funiculaire, que les lyonnais appellent La Ficelle, m'y a transportée en quelques minutes.
La Fondation Fourvière propose à l’ensemble des visiteurs et pèlerins de venir confier leurs souhaits à Notre-Dame de Fourvière. Cette démarche s’inscrit dans l’histoire du site et perpétue l’attachement de toute une ville à la Vierge Marie. Pour cela, ils sont invités à venir nouer un ruban aux branches des oliviers, qui sont installés sur l’esplanade. Les rubans sont disponibles en boutique et au Pavillon d’accueil avec une offrande conseillée de 2€. Les dons récoltés sont dédiés aux travaux de restauration et de réhabilitation du site de Notre-Dame de Fourvière.
A l'heure de ma visite tout le monde dormait encore, tout était fermé, donc pas de ruban, pas de petit déjeuner que je comptais prendre sur la colline.
La voilà la Vierge Marie
Ses mensurations sont volontairement disproportionnées (mains et visage trop grands par rapport à son corps), afin d'apparaître idéalement lorsqu'on la regarde d'en bas.
Photo du site https://www.fourviere.org/
La basilique est vraiment très impressionnante avec ses magnifiques décorations. Les matériaux utilisés pour la construction et la décoration rivalisent de qualité et de beauté, marbre blanc de Carrare, granit rose du Nord de l’Italie, marbre bleu de Savoie, onyx vert, éclats de l’argent et de l’or, mariage de l’ébène et de l’ivoire. Je me demande toujours comment ils ont transporté à l'époque vers la colline tous ces matériaux venant d'autres régions et d'autres pays.
Sur les murs latéraux on admire six panneaux en mosaïque
De l'incontournable esplanade de Fourvière je découvre un panorama unique sur l’ensemble du site historique de Lyon, inscrit au patrimoine de l’humanité de l'Unesco.
A mes pieds la Cathédrale Saint-Jean, la Saône, le carré de la place Bellecour...
J'ai dû attendre l'ouverture à 9 heures du Restaurant Le Coquemar pour prendre mon petit déjeuner. Ce nom me disait quelque chose et en regardant mes notes je me suis rappelé que ce restaurant m'avait été recommandé la veille par mon voisin de table au restaurant Bocuse Sud. Installée à la terrasse j'ai observé une quantité interminable d'autocars remplis de touristes qui défilait sous mes yeux. Ouf, je l'ai échappé belle, ma visite était déjà terminée et j'ai repris la Ficelle sur un air d'accordéon. J'ai encore toute la journée devant moi pour découvrir Lyon.