J'ai un faible pour les tartes salées, en plus on peut les garnir avec toutes sortes de légumes avec ou sans lardons, jambon et pour se faciliter la vie on peut acheter la pâte toute faite.
Ingrédients :
600 g d'épinards piment rouge 50 g de taleggio 100 g de guanciale 1 œuf 1 jaune d'œuf 50 g de parmesan poivre et sel noix de muscade 1 gousse d'ail huile d'olive 1 rouleau de pâte feuilletée
Préparation :
Préchauffer le four à 200°
Faire revenir le guanciale dans un peu d'huile avec l'ail et le piment rouge coupé en rondelles, réserver Cuire les épinards quelques minutes dans un peu d'eau, puis égoutter Dans la même poêle faire revenir les épinards, saler et poivre, puis laisser refroidir
Dans un saladier mélanger les épinards, l'œuf, le parmesan et le taleggio coupé en cubes Saler, poivrer et ajouter une pincée de noix de muscade
Dérouler la pâte feuilletée et verser le mélange d'épinards sur la moitié de la feuille Replier la pâte et sceller les bords avec les dents d'une fourchette Faire des trous dans la pâte à l'aide d'une fourchette Badigeonner la surface avec le jaune d'œuf battu
Enfourner pendant 10 minutes, puis baisser la température à 170° et finir la cuisson quand la pâte est bien dorée.
Je sens que mes lecteurs italiens vont sauter au plafond. Le Cacio et Pepe (fromage et poivre) est un plat typiquement italien et plus précisément romain. Il est composé de seulement 3 ingrédients : des pâtes longues, du pecorino et beaucoup de poivre noir. Alors le chef anglo-israélien Yotam Ottolenghi a osé proposer une variante en y ajoutant du za'atar, un mélange d'herbes du moyen orient ! Sacrilège ! Il compare le za'atar un peu à la sauge que les italiens ajoutent souvent à des plats préparés au beurre. Dans la vidéo son assistante ose même avancer que le Cacio e Pepe a attendu toute sa vie à être servi avec le za'atar !
Je suis toujours curieuse de découvrir de nouvelles saveurs et vu que j'avais tous les ingrédients à la maison, je me suis lancée.
Comme j'ai expliqué dans mon article Recettes anti-gaspi je n'achète plus les mélanges d'épices si je peux les composer moi-même avec ce que j'ai dans mes placards. Il en est ainsi pour le za'atar : J'ai mixé dans le robot l'origan, la marjolaine, le sumac, le sésame grillé et le thym.
Ingrédients :
400 g de bucatini 50 g de beurre 10 g de za'atar + 1½ càc pour garnir 2 càs de poivre noir 130 g de parmesan râpé 30 g de pecorino 2½ càs d'huile d'olive 2 càc de marjolaine
Préparation :
Dans une grande casserole, portez à ébullition 1 litre d'eau, puis assaisonnez avec trois quarts de cuillère à café de sel
Ajoutez les bucatini et faites-les cuire pendant neuf minutes, jusqu'à ce qu'ils soient al dente
Il faut remuer de temps en temps pour que les pâtes ne collent pas ensemble ou au fond de la casserole et pour qu'elles restent complètement submergées.
Égouttez les pâtes et réservez toute l'eau de cuisson : il devrait vous en rester environ 520 ml*
Si ce n'est pas le cas, complétez avec un peu d'eau chaude
Dans une grande sauteuse, à feu vif, faites fondre le beurre puis ajoutez le za'atar et le poivre
Faites cuire, en remuant, pendant une minute, jusqu'à ce qu'il soit parfumé
Ajoutez l'eau de cuisson réservée, portez à ébullition rapidement et faites cuire cinq minutes, jusqu'à ce qu'elle réduise un peu
Incorporez les pâtes à la sauce, puis ajoutez le parmesan en deux fois en continuant de remuer au fur et à mesure
Attendez que la première moitié ait fondu avant d'ajouter la suivante
Une fois tout le parmesan fondu, ajoutez le pecorino en continuant de remuer jusqu'à ce qu'il soit également fondu et que la sauce soit lisse et soyeuse
Transférez dans un plat de service, terminez avec un filet d'huile d'olive, les feuilles de marjolaine, le za'atar restant et une petite pincée de sel, et servez aussitôt.
*j'ai trouvé que cela faisait beaucoup, j'en ai mis moins.
Ceci est une recette du River Cafe Cook Book qui m'a été offert par une amie. C'est le livre de deux amies anglaises Rose Gray et Ruth Rogers qui ont ouvert leur restaurant The River Cafe à Londres en 1987. Elles proposent de la cuisine italienne, suite à un long séjour en Toscane. Elles ont même obtenu une étoile Michelin. Les recettes de leur livre sont les plats qu'elles servent au restaurant. C'est lors de la réalisation d'une émission télévisée en 1999 qu'un sous-chef du nom de Jamie Oliver a été découvert dans la cuisine de ce restaurant. Il y a travaillé pendant trois ans et demi. Rose Gray est décédée en 2010.
De leur livre j'avais noté depuis un moment leur recette d'un rôti de veau à la sauge. J'aime beaucoup la sauge qui est beaucoup utilisée dans la cuisine italienne et qui pousse très bien dans mon jardin. Au lieu d'un rôti j'ai utilisé de la blanquette de veau.
Ingrédients pour 6 personnes :
2,3 kg de rôti de veau sel de mer et poivre noir du moulin 20 feuilles de sauge émincées 2 càc de romarin émincé 100 g de beurre 3 gousses d'ail coupées en lamelles 75 g de cèpes séchés réhydratés 250 ml de vin blanc
Préparation :
Saler et poivrer la viande et rouler dans la sauge et le romarin Faire fondre la moitié du beurre dans une cocotte en fonte Quand le beurre commence à mousser ajouter la viande et dorer de tous les côtés Dégraisser Mettre 15 g de beurre dans la cocotte, ajouter l'ail et les cèpes réhydratés et faire revenir quelques instants Ajouter un peu de l'eau des cèpes pour déglacer la cocotte à feu vif Ajouter le vin blanc et baisser le feu
Remettre la viande dans la cocotte et poser le reste du beurre dessus Recouvrir au contact avec du papier sulfurisé et placer le couvercle sur la cocotte en laissant une ouverture Continuer la cuisson sur feu doux pendant 45 minutes ou bien au four préchauffé à 150°.
Le stamppot hollandais (stoemp en Belgique) est un mélange de pommes de terre écrasées avec un ou plusieurs autres légumes. Les stamppots les plus connus sont ceux au chou kale, à la choucroute, et le hutspot, un mélange de pommes de terre, carottes et oignons.
Mais aujourd'hui je vous propose une purée de pommes de terre mélangée avec des tomates, du fromage, des pignons de pin et de la roquette. Donc un mélange de la gastronomie italienne et hollandaise.
Ingrédients :
1200 g de pommes de terre pour purée épluchées 100 g de roquette 240 g de tomates cerises 250 ml de lait chaud beurre 100 g de Gouda vieux râpé pignons de pin rôtis sel et poivre noix de muscade
Préparation :
Cuire les pommes de terre dans de l'eau 15 à 20 minutes jusqu'à ce qu'elles soient cuites Egoutter et remettre dans la casserole sur feu éteint pour les sécher Ecraser les pommes de terre à la fourchette en les mélangeant au beurre, le sel, le poivre et la noix de muscade Ajouter peu à peu du lait chaud jusqu'à obtention de la consistance souhaitée Ajouter le fromage râpé pour le faire fondre
Rôtir les pignons de pin dans une poêle sans matière grasse Mélanger délicatement la roquette et les pignons de pin dans la purée Couper les tomates en deux et ajouter en dernier Garnir la purée de quelques feuilles de roquette et pignons de pin supplémentaires.
Pour le plaisir ! Je ne me prive jamais de quelques truffes, pour le plaisir ne plus compter, prendre la vie du bon côté, pour le plaisir (vous reconnaissez ?).
Cabrespine
J'ai profité d'une visite à Cabrespine au début du mois de mars pour en acheter quelques unes comme j'ai l'habitude de faire chaque année. Sur place j'ai dégusté plusieurs préparations aux truffes dont je vous parlerai dans un prochain article.
Pour commencer j'ai mis mes truffes dans un bocal avec des œufs, que je préparerai ensuite en brouillade.
Pour le beurre aux truffes j'ai utilisé du beurre au sel que j'ai mélangé avec de la truffe râpée.
Tartiner sur du pain grillé ou sur des mini toasts.
Ecrasé de pommes de terre aux truffes
Ingrédients :
pommes de terre
truffe
sel
huile d'olive
Préparation :
Râper une partie de la truffe et couper une partie en fines tranches
Laver les pommes de terre et cuire dans de l'eau salée
Eplucher les pommes de terre quand elles sont cuites
Ajouter de l'huile d'olive et la truffe râpé et écraser grossièrement à l'aide d'une fourchette Ajouter éventuellement un peu de sel (Comme j'avais de l'huile aux truffes j'en ai ajouté un peu à l'écrasé)
500 de choux de Bruxelles frais 2 tomates 1 poivron 1 oignon rouge 1 gousse d’ail
½ piment rouge coupé en rondelles 1 c à s de gingembre frais haché 1 brique de lait de coco 1 cuillère à soupe de curry 1 cuillère à café de curcuma sel, poivre coriandre fraiche (je n'en avais pas) quelques cacahuètes 1 c à s de noix de cajou 1 c à s d’huile de coco
Préparation :
Couper le bout des choux, couper en deux et enlever les feuilles extérieures Faire blanchir 3 minutes dans un grand volume d’eau bouillante Egoutter les choux
Emincer l’oignon, les tomates, l’ail, le poivron et le piment
Faire revenir les légumes 5 minutes dans l’huile de coco avec le gingembre haché Ajouter les choux Mélanger Faire revenir 3 minutes
Ajouter le lait de coco, saler, poivrer, ajouter les épices et laisser mijoter à feu moyen pendant 15 minutes environ
Planter la pointe d’un couteau dans un demi chou pour vérifier la cuisson Rectifier l’assaisonnement
Servir ce curry parsemé de noix de cajou et de cacahuètes grillées et salées.
De l'aéroport de Rome nous sommes partis en minibus vers notre quartier d'hébergement Trastevere. J'y avais loué un appartement que j'ai partagé avec une autre étudiante de la Dante. Le temps de nous installer nous partons déjà vers 18 heures tous ensemble à la découverte du quartier et du Ghetto qui se trouve de l'autre côté du Tibre.
Piazza Santa Maria di Trastevere
Basilica Santa Maria di Trastevere
Comme j'ai déjà fait un reportage détaillé du quartier et de cette basilique suite à mon séjour en 2019 je me limite dans cet article à quelques photos.
Le quartier Trastevere est très animé, on y trouve beaucoup de bars et restaurants. Il ne faut pas s'étonner des nombreux tags partout sur les façades, même sur des églises. Ils font hélas parti du paysage.
Mes voyages ne constituent non seulement une découverte touristique mais également une découverte gastronomique, ce qui ne doit pas vous étonner. A part les bars et restaurants de nombreux traiteurs sont installés dans le quartier où l'on peut acheter des pizzas al taglio (à la coupe), de la porchetta (cochon farci aux herbes) et beaucoup d'autres délices.
Porchetta
Arancini et pizza al taglio
Isola Tiberina
Nous traversons le Tibre par le pont d'où nous avons une belle vue sur l'Isola Tiberina.
Portico d'Ottavia
Nous avançons vers le Ghetto, le quartier juif de Rome avec son Portico d'Ottavia et ses nombreux commerces juifs : ici vous mangerez les fameux carciofi alla giudia,
Carciofo alla giudia
des artichauts cuits en friture et la Pizza ebraica qui n'est pas une pizza mais un gâteau aux fruits secs. (Lire mon article de 2013).
Pizza ebraica
Vers 21 heures nous nous retrouvons au Restaurant Carlo Menta qui est toujours plein à craquer. J'ai toujours vu ce restaurant avec une file de personnes qui attendent dehors qu'une table se libère. On n'y sert pas la haute cuisine, mais on y mange bien et pour vraiment pas cher.
Suppli
En antipasti nous avons commandé des suppli, des croquettes de riz farcies à la mozzarella et une focaccia bianca à partager.
Focaccia bianca
Et pour moi ensuite des tagliolini allo scoglio, des pâtes aux fruits de mer. La journée a été très longue et nous avons tous hâte de retrouver notre lit.
Pour l'instant la dernière recette dans la série de puntarelle.
Ingrédients :
¼ gousse d'ail 2 gouttes de vinaigre de vin blanc huile d'olive extra vierge puntarelle piment fort en poudre un morceau de poutargue râpée
Préparation :
Ecraser l'ail avec un couteau Ajouter de l'huile d'olive Ajouter le vinaigre de vin blanc Ajouter le piment Ajouter la poutargue râpée Bien mélanger tous les ingrédients
Dans un saladier mélanger les puntarelle avec cette sauce Il me restait un morceau de mozzarella di bufala que j'ai servie avec cette salade J'ai garni le tout avec encore un peu de poutargue râpée et de l'huile d'olive et du pane carasau.
La Journée internationale de sensibilisation aux pertes et gaspillages de nourriture, instaurée en 2020 par l’Organisation des Nations Unies (ONU), est l’occasion de rappeler, chaque 29 septembre, que la lutte contre le gaspillage alimentaire est un levier d’action contre le changement climatique et pour le pouvoir d’achat. Elle constitue en outre un défi planétaire.
Je n'ai pas attendu le 29 septembre prochain pour réunir ici quelques recettes anti gaspi de mon blog. Je me rappelle ce que ma mère me disait toujours quand je boudais devant un repas qui ne me plaisait pas : "Un jour tu te languiras de ce repas". Elle avait connu la guerre et la famine. J'y pense souvent et j'ai transmis ce message à mes enfants.
En ce moment nous vivons une période d'inflation et ce sont surtout les prix de l'alimentation qui ont augmenté. Sur demande du gouvernement les enseignes de la grande distribution ont mis en place le panier anti-inflation dans leurs rayons depuis le 15 mars. Les produits sontreconnaissables à l'aide d'un logo bleu, blanc, rouge, représentant un cadi autour duquel est inscrit la mention "trimestre anti-inflation". Certains enseignes proposent des remises sur jusqu'à 500 articles. Une autre enseigne propose 150 produits à prix coutant. Le détail par enseigne ici.
Aujourd'hui j'ai vu en effet à l'entrée d'un supermarché tous les articles de marque distributeur (mais également quelques articles de grandes marques) concernés étalés. Je n'ai pas vérifié les prix, mais je veux bien croire que ce supermarché a diminué sa marge sur ces articles.
Mais il y a d'autres façons de faire des économies sur notre alimentation sans sacrifier la qualité. Cuisiner vos plats vous-même au lieu d'acheter des plats cuisinés qui coutent cher, qui sont trop salés, trop gras, remplis d’additifs pour donner du goût et des saveurs, le tout-prêt est loin d’être sain !
Le 18 mars est la Journée mondiale du recyclage : Rien n'est jeté dans la cuisine ! Sur ce sitevous trouverez beaucoup de recettes faites avec des restes. (avec un clic droit vous obtiendrez la traduction en français).
Achetez vos fruits et légumes chez le producteur ou au marché, l'avantage du fait-maison : Il vous fera réaliser des économies ! Les plats industriels sont coûteux.
Comme je cuisine beaucoup de plats de la cuisine du monde j'étais souvent tentée d'acheter des mélanges d'épices qui rentraient dans le composition d'une recette et mon placard déborde de pots et de sachets d'épices. Alors j'ai décidé qu'avant d'acheter encore un mélange d'épices je regarderai si je peux composer ce mélange avec ce que j'ai à la maison. Et j'évite alors d'acheter un mélange que je n'utiliserai que rarement. Un bon exemple est le za'atar : Je n'achète plus les mélanges d'épices si j'ai tous les ingrédients à la maison pour les préparer moi-même. Pour le za'atar : origan, marjolaine, sumac, sésame grillé et thym en mixant tout dans le robot.
Et utilisez vos restes : avec la carcasse d'un poulet vous réaliserez une excellente soupe de poulet, ajoutez des vermicelles (ou des spaghettis coupés en morceaux) et elle fera votre repas du soir :
Videz le tiroir légumes de votre frigo : n'importe quel légume : une carotte, une branche de céleri, une courgette, une moitié de poivron feront une belle omelette aux légumes :
Quand vous achetez un bouquet de carottes fanes chez le producteur il vous propose souvent de couper les fanes pour que vos carottes prennent moins de place dans votre panier. Gardez les fanes car vous pouvez en faire vraiment une bonne soupe. J'ai essayé et je suis convertie !
Ne jetez plus vos épluchures, faites comme les grands chefs qui ne jettent rien, utilisez vos épluchures pour faire votre bouillon maison. Vous le conserverez en petites barquettes dans votre congélateur :
Nous avons tous dans notre frigo des petits morceaux de fromage, un sachet de râpé entamé qui finissent souvent dans la poubelle. Lisez cette recette et vous allez réaliser un mélange qui régalera vos papilles :
Et avec un reste de risotto on peut préparer des délicieux arancini. Oui ça donne un peu de travail, mais vous allez récolter des compliments de vos convives !
Combien de fois on a besoin d'un jaune d'œuf pour une recette et il vous reste le blanc. On a tendance alors de le jeter. Changez vos habitudes ! Versez le blanc non utilisé dans un petit récipient que vous garderez au congélateur. J'ai pris l'habitude de rajouter à ce récipient un deuxième blanc d'œuf, puis un troisième quand l'occasion se présente. Je note sur une étiquette collée sur le couvercle le nombre de blancs d'œuf. Ils se conservent longtemps et je les utilise pour faire des meringues ou des pavlova :
Les pâtes alla puttanesca sont un plat de la tradition gastronomique italienne, où la sauce se compose principalement d'une sauce tomate avec "aulive e chiappariell", comme on appelle les olives et les câpres en dialecte napolitain. Et pourquoi ce nom énigmatique "puttanesca" ?
Comme toujours il y a plusieurs explications. Je vous donne celle racontée par l'expert en gastronomie Arthur Schwartz qui, dans son livre "Naples à table", émet plutôt l'hypothèse que les pâtes puttanesca sont nées à Naples et plus précisément dans le quartier espagnol. Quelques photos du quartier espagnol illustrent ma recette.
Une des nombreuses triperies du quartier espagnol de Naples
Via San Liborio
Au début du XXe siècle, ce quartier napolitain bien connu était en fait le siège de toutes sortes d'activités, dont quelques maisons de plaisir. Un jour, le propriétaire d'une de ces maisons a décidé de rafraîchir ses convives en inventant un plat simple et rapide, et c'est ainsi qu'il a imaginé ces pâtes au nom coloré.
Ingrédients :
400 g de tomates pelées
350 g de linguine
80 g d'olives Gaeta
40 g de câpres dessalées
2 filets d'anchois à l'huile
1 gousse d'ail entière
1 morceau de piment
persil
huile d'olive vierge extra
sel
Préparation :
Faire revenir 1 gousse d'ail en entier, un morceau de piment et les anchois dans beaucoup d'huile jusqu'à ce qu'ils soient fondus
Retirer l'ail* et ajouter les tomates en les écrasant avec une cuillère en bois
Ajouter les olives dénoyautées et coupées en petits morceaux et les câpres
Cuire 10-15 minutes
Pendant ce temps, faites bouillir les linguines dans de l'eau bouillante salée
Les égoutter al dente et les verser dans la poêle avec la sauce
Compléter les pâtes avec une poignée de persil haché et servir.
*Dans le cuisine italienne on ajoute souvent l'ail pour donner du goût à une sauce, mais on le retire après.