Vendredi 13 mai 2016 fin d'après-midi
Nous nous approchons de l'île d'Egine. Un autobus nous attend pour nous amener au temple d'Aphaïa situé au sommet d'une colline.
Nous passons devant des champs de pistachiers.
A Egine, la production se compte seulement en centaines de tonnes, mais bénéficiant d'une appellation d'origine contrôlée, cette pistache jouit d'une réputation d'excellence, et est aussi l'une des plus chères. La culture de pistache a commencé sur Egine dans les années 60. Certains pêcheurs ne trouvant plus assez de bénéfices dans le poisson ont décidé de mettre pied sur terre et de se lancer dans cette culture qui était peu onéreuse à l’époque. De nos jours, certaines familles des plus riches de Grèce ont fait fortune dans la pistache.
Dans les kiosques qui longent le port d'Egine, la pistache, produit star de l'île, se décline sous toutes ses formes. Considérée comme la meilleure de Grèce, la pépite verte met nombre d'agriculteurs à l'abri de la crise. J'en ai acheté pour ramener à la maison. Et en effet elles sont bien meilleures que celles que j'avais l'habitude d'acheter ici au supermarché. En plus elles sont plutôt roses de couleur.
De retour sur le bateau un spectacle de danse est proposé aux voyageurs. Le matin il était d'ailleurs possible d'apprendre à danser le sirtaki sur le pont du bateau.
Nous nous approchons du port de Pirée d'Athènes.
Le soir après le repas Gaëlle nous propose d'admirer l'Acropole illuminée la nuit. Et bien sûr j'ai répondu présent. Nous avons pris le métro pour nous rendre en bas de l'Acropole.
Station de métro Acropole |
Le métro |
Il est difficile de faire des photos de nuit, surtout quand on n'a pas pris son trépied. Voici les plus réussies.
Notre circuit en Grèce s'arrête ici, demain nous prendrons l'avion et en arrivant en France nous rajeunirons d'une heure.
Un dernier article suivra sur une particularité grecque.
Un dernier article suivra sur une particularité grecque.