Je ne raffole pas des tomates jaunes ananas, mais on m'en a donné et je ne vais quand-même pas les gaspiller. Alors je les ai préparées à l'huile et aux herbes selon une recette trouvée sur "les Foodies"
Ingrédients :
Tomates jaunes
Thym
Sel, poivre
Laurier
Herbes de Provence
Ail
Piment (facultatif)
Huile d'olive
Préparation:
Préchauffer votre four à 100°
Couper les tomates jaunes en deux, les placer sur une plaque couverte de papier sulfurisé, face coupée vers le haut
Saler légèrement, poivrer et soupoudrer d'herbes de Provence Verser juste une goutte d'huile d'olive sur chaque demi-tomate Enfourner pendant 3h30 en les retournant à chaque heure Quant les tomates sont bien sèches, les laisser refroidir
Les déposer dans des bocaux, ajouter l'ail les feuilles de laurier le thym, le piment et finir en remplissant les bocaux d'huile d'olive.
300 g de mozzarella bien égouttée 6 feuilles de sauge 2 œufs battus 70 g de chapelure 50 g de farine huile de friture
sel et poivre
Préparation :
Couper la mozzarella en bâtonnets Réserver sur du papier absorbant
Hacher les feuilles de sauge le plus finement possible Fouetter les œufs, mélanger la chapelure avec la sauge hachée Ajouter du sel et du poivre à la farine
Tremper chaque bâtonnet de mozzarella dans la farine, puis dans l'œuf battu, puis dans la chapelure en renouvelant l'opération si nécessaire afin qu'ils soient bien enrobés
Faire chauffer l'huile de friture dans une casserole un peu haute et faire frire les mozza sticks 3 par 3 pendant 1 à 2 minutes environ
Ils doivent être bien dorés Réserver sur du papier absorbant
Au mois d'août mon fils m'a appelée pour demander si j'avais envie d'aller avec lui au restaurant Le Castell, car il n'avait pas envie de manger seul, sa femme passant la soirée chez une copine . J'ai bien fait de réserver, il restait juste 1 table pour 2. J'ai déjà parlé de ce restaurant ici.
On y mange toutes sortes de brochettes, accompagnées d'aïoli, harissa et moutarde. Et bien sûr les frites ne peuvent pas manquer. Ambiance sympa.
Je vous conseille de réserver et je crois qu'ils n'acceptent pas la carte bleue.
La sfincione est la pizza sicilienne et ressemble plutôt à la focaccia. La pâte spongieuse est couverte d'une sauce tomate aux oignons et de fromage sicilien.
Je ne connaissais pas encore le fromage sicilien Primo Sale, mais le hasard a voulu que juste au moment où je voulais tester la recette de la sfincione il y en avait chez Lidl. C'est un fromage assez fort fait avec du lait de chèvre, de brebis et de vache. Si vous n'en trouvez pas, utilisez du pecorino.
Je vous donne les ingrédients pour 2 grandes plaques, j'ai préparé la moitié ce qui est largement suffisant pour 4 personnes.
Quelques souvenirs de mes vacances en Sicile :
Palermo
Monreale
Ingrédients :
800 g de farine T45
200 g de farine de blé dur rimacinata
50 g d'huile d'olive
30 g de sucre
20 g de sel
25 g de levure de bière fraîche
500 ml d'eau tiède
800 g de tomates pelées
4 à 5 oignons
200 g de fromage caciocavallo, provolone ou scamorza
100 de de fromage primo sale
2 boîtes d'anchois à l'huile huile d'olive
chapelure
fromage râpé
origan
Taormina
Préparation :
Dans un saladier mélanger les farines, le sucre, l'huile et la levure de bière diluée dans un peu d'eau tiède Tout en pétrissant la pâte ajouter ensuite peu à peu l'eau tiède et le sel J'ai pétri la pâte dans la machine à pain Finir de pétrir la pâte sur le plan de travail fariné et former une boule Mettre la pate dans un saladier et couvrir d'un film alimentaire Laisser reposer 3 heures
Pendant ce temps préparer la sauce
Faire fondre 2 filets d'anchois dans de l'huile d'olive chaude Ajouter les oignons coupés en lamelles et cuire à feu doux Ajouter la boîte de tomates pelées Ajouter sel, poivre et origan Mijoter et laisser réduire la sauce
Couper la pâte en deux morceaux Remplir deux plaques four huilées avec la pâte en l'étalant avec les doigts Laisser reposer encore une heure
Préchauffer le four à 200° A l'aide des doigt faire des creux dans la pâte et mettre dans chaque trou un morceau d'anchois et un morceau de fromage Couvrir avec la sauce tomate
Enfourner les plaques pendant 20 minutes
Sortir du four et garnir de chapelure, de fromage râpé, d'origan et d'huile d'olive
Avec ma sœur nous avions décidé de nous inscrire à 2 ateliers de cuisine pendant notre séjour à Marrakech. Ma sœur avait trouvé une info au sujet d'une hollandaise, Gemma, habitant depuis plusieurs années à Marrakech et qui organisait des ateliers cuisine en collaboration avec des femmes marocaines. Ces ateliers existent toujours : Souk Cuisine.
Achat d'amandes
Le jour J nous avions rendez-vous avec Gemma au Café de France à la Place Jemaa el Fna. Pour le premier atelier nous étions 6 participants. Gemma nous a expliqué comment allait se dérouler la journée : Elle nous a remis une liste de courses et de l'argent pour acheter dans le souk les ingrédients pour les plats qu'on allait préparer. Bien sûr elle est là pour nous diriger vers ses fournisseurs habituels.
On achète le poulet vivant
Le marchand nous demande de repasser 20 minutes plus tard, le temps de préparer notre poulet.
Sur le chemin des courses on s'arrête à un four où les marocaines apportent leur pain pour le faire cuire.
Et ici nous achetons les épices
J'ai tant de choses à vous montrer que je suis obligée de vous présenter mon article en plusieurs étapes.
Nous découvrons également un petit "restaurant" où l'on vous sert la Tanjia Marrakchia préparée dans des jarres en terre cuite, qui ressemblent à des amphores et qu'on fait cuire dans un trou au sol. Déjà nous décidons d'y manger un soir.
Avant de partir en Ariège j'avais déjà cherché sur internet des restaurants de qualité mais pas trop chers dans la région. Les propriétaires de la yourte m'avaient également donné quelques bonnes adresses par téléphone. Pour être sûre de trouver une place j'avais réservé d'avance. J'ai bien fait, car certains restaurants étaient très fréquentés.
J'avais prévu pendant mon séjour de déjeuner à midi au restaurant et le soir je me suis contentée de quelques bricoles en cas de petit creux : fromages, et charcuteries car le soir j'aimais rester au calme dans "ma" yourte avec quelques livres.
Le premier jour j'ai donc déjeuné au Clos St.- Martin, une Métairie située dans un très beau parc. La formule de midi me convenait et j'ai vraiment apprécié le menu.
Le restaurant dispose d'une belle terrasse à l'extérieur au milieu d'un beau parc.
En apéritif j'avais demandé la spécialité de la region : l'Hypogras, un vin médiéval aux épices.
L'Hypogras m'a bien plu et j'ai même acheté une bouteille pour ramener à la maison.
En entrée un gaspacho aux tomates anciennes et basilic
250 g de nouilles aux œufs 2 poivrons rouges corne de bœuf 1 mangue* 15 g de menthe fraîche 2 càs d'huile d'arachide 300 g de poulet coupé en lanières 4 càs de sauce chili 3 càs de sauce poisson poivre
Préparation :
Mettre les nouilles dans un saladier et verser de l'eau bouillantes dessus Laisser reposer pendant 10 minutes Egoutter les nouilles et les passer sous l'eau froide
Couper les poivrons en deux, épépiner, couper le pédoncule et enlever les membranes blanches Couper les poivrons en lanières Eplucher la mangue et couper la chair en lanières Ciseler les feuilles de menthe
Chauffer l'huile dans une poêle et faire dorer les lanières de poulet sur feu vif pendant 2 minutes Ajouter les lanières de poivron et faire revenir aussi 2 minutes Ajouter les nouilles, la sauce chili et la sauce poisson Mélanger et cuire encore 1 minute ensemble Poivrer
Hors du feu mélanger les pâtes avec la mangue et 2/3 de la menthe Servir et garnir avec le reste de la menthe.
*J'avais choisi cette recette pour utiliser une mangue que j'avais depuis un bon moment au frigidaire. Or, quand j'ai commencé à préparer les ingrédients je me suis rendu compte que la mangue était trop mûre et j'ai été contrainte de la jeter. 😡. Sur ma photo ne cherchez donc pas la mangue, j'ai préparé ma recette sans. Mais le plat était savoureux quand même.
J'ai envie de refaire cette recette, je n'avais pas vu la photo de l'original de ce plat sur la couverture du livre de cuisine Falastin, mais aperçu sur un blog où la présentation ne ressemblait pas du tout à l'original. La salade doit être coupée plus finement et on doit la mélanger avec les concombres comme sur cette photo :
Ingrédients :
Pour le yaourt à l'aubergine :
2 (500 g) d'aubergines 35 g de yaourt grec ½ gousse d'ail émincée 1½ càs de jus de citron 25 g de tahini sel
Pour le concombre écrasé :
1 concombre épluchée, coupé en 2 dans le sens de la longueur et épépiné 25 g de persil émincé 25 g de feuilles de menthe émincées ½ gousse d'ail émincée 50 ml d'huile d'olive
500 g de sucrines poivre et sel 1½ càs de shatta* ou harissa rose ½ càc de flocons de chili (ou une pincée de graines de sésame noire ou des graines de nigelle
Préparation :
Commencer par le concombre et la sauce aux herbes pour que les parfums infusent
Pour le concombre :
Poser chaque moitié de concombre sur la planche à découper, côté coupé vers le bas
A l'aide de la lame du couteau posée à plat écraser le concombre légèrement sans le casser, puis couper en morceaux d'1 centimetres
Réserver
Dans le robot mixer le persil, la menthe, l'ail, le sel et l'huile d'olive
Mixer pendant 2 minutes pour obtenir une mélange lisse
Nettoyer le robot
Ajouter ce mélange aux morceaux de concombres
Réserver quelques heures au frigidaire
Pour le yaourt à l'aubergine :
Griller les aubergines au four ou sur un grill en fonte
Vider les aubergines (cela devrait faire environ 160 g) et mettre la chair dans le robot ensemble avec le yaourt, l'ail, le just de citron, le tahini et le sel
Mixer pendant 1 minute pour obtenir un mélange crémeux
Réserver
Couper les sucrines en huit dans le sens de la longueur et dresser sur le plat de service, saler et poivrer et garnir avec le yaourt aux aubergines
Ajouter les morceaux de concombre
Garnir avec le shatta* ou la harissa rose et les flocons de chili
*On peut éventuellement préparer le shatta facilement à la maison :
Ingrédients :
250 g de piments verts ou rouges 1 càc de sel 3 càs de vinaigre de cidre 1 càs de jus de citron huile d'olive
Profitons le plus longtemps possible des derniers jours de l'été et des fruits de saison.
Un dessert très facile à préparer, et si on est nombreux on peut varier avec encore plus de fruits. Cette recette sort du magazine "La Cucina Italiana". Pour mon invité du mercredi et moi-même cela devenait un peu couteux d'acheter encore plus de fruits différents. Mais même avec seulement 3 fruits cette recette est déjà très jolie et "golosa".
Ingrédients :
1 grande tranche de pastèque coupée en 8
crème chantilly les fruits de votre choix
Préparation :
Couvrir chaque part de pastèque avec de la crème chantilly
Puis garnir avec les fruits de votre choix : framboises, myrtilles, fraises, abricots, kiwis...
Vous pouvez vous inspirer de cette photo de La Cucina Italiana
Au mois de septembre dans le cadre d'un stage d'italien j'ai vu en avant première le film italien La Dea Fortuna (le titre en français est "Pour Toujours"). La chanson "Che Vita Meravigliosa" de la bande sonore du film a reçu le prix Nastro d'Argento pour la meilleure chanson originale.
"Che vita meravigliosa" chantée par Diodato
Sai, questa vita mi confonde Coi suoi baci e le sue onde Sbatte forte su di me Vita, che ogni giorno mi divori Mi seduci e mi abbandoni Nelle stanze di un hotel
Tra le cose non fatte per poi non doversi pentire Le promesse lasciate sfuggire soltanto a metà Mentre pensi che questo non vivere sia già morire Chiudi gli occhi lasciando un sospiro alla notte che va
Ah, che vita meravigliosa Questa vita dolorosa Seducente, miracolosa Vita che mi spingi in mezzo al mare Mi fai piangere e ballare Come un pazzo insieme a te
Sì, avrei potuto andare altrove Non dar fuoco a ogni emozione Affezionarmi ad un cliché Ma sei la vita che ora ho scelto E di questo non mi pento Neanche quando si alza il vento
E mi perdo nel vortice di ogni tua folle passione Tra i profumi dei fiori che posi qui dentro di me Mi fai bere i tuoi baci affinché io poi possa arrivare Dentro l'ultima notte d'estate ubriaco ad urlare...
Ah, che vita meravigliosa Questa vita dolorosa Seducente, miracolosa Vita che mi spingi in mezzo al mare Mi fai piangere e ballare Come un pazzo insieme a te
Ah, che vita meravigliosa Questa vita dolorosa Seducente, miracolosa Vita che mi spingi in mezzo al mare Mi fai piangere e ballare Come un pazzo insieme a te
E non vorrei mai lasciarti finire No, non vorrei mai lasciarti finire
Ah, che vita meravigliosa Ah, che vita meravigliosa Ah, che vita meravigliosa Ah, che vita meravigliosa
Ah, che vita meravigliosa Questa vita dolorosa, seducente, miracolosa (Ah, che vita meravigliosa) Vita che mi spingi in mezzo al mare (Ah, che vita meravigliosa) Mi fai piangere e ballare come un pazzo insieme a te (Ah, che vita meravigliosa)
Non, non, l'été n'est pas fini, même si le supermarché veut déjà nous convertir aux panais, potirons et topinambours. Je ne veux pas céder et je m'accroche encore aux légumes d'été.
Les courgettes, aubergines et tomates, même si on peut les trouver toute l'année sur les étals, pour moi elles sont associées aux journées longues et ensoleillées. Mon producteur local les vend encore tous les matins dans son garage, même si j'ai déjà aperçu aussi chez lui des butternuts.
Avec ma récolte j'ai préparé une soupe d'été dont j'ai trouvé la recette dans un Maxi Cuisine. Je réserve les carottes pour une autre préparation.
Ingrédients :
4 courgettes 3 tomates 300 g de pommes de terre 200 g de haricots plats 1 aubergine 1 gros oignon 2 gousses d'ail 1 branche de basilic 200 g de pancetta 4 càs d'huile d'olive sel et poivre (J'ai ajouté un peu de concentré de tomates et un cube de bouillon de légumes méditerranéens)
Préparation :
Epluchez les pommes de terre, nettoyer les courgettes et l'aubergine (laisser la peau) et couper le tout en cubes Ebouillanter les tomates 1 minute, peler, épépiner et détailler en morceaux Eplucher et émincer l'oignon Peler et presser l'ail Nettoyer les haricots et couper en morceaux Couper la pancetta en tronçons
Chauffer 2 càs d'huile d'olive dans une cocotte Faire blondir l'oignon 5 minutes Ajouter les pommes de terre, l'aubergine et l'ail et poursuivre la cuisson 5 minutes
Incorporer ensuite les tomates, les courgettes, les haricots et la pancetta Ajouter 1 càs de concentré de tomates Couvrir largement d'eau, poivrez généreusement, ajouter un cube de bouillon et laisser frémir 20 minutes
Rincer et sécher le basilic, effeuiller, ciseler et ajouter dans la soupe
Dans l'assiette arroser la soupe d'un filet d'huile d'olive et garnir de quelques feuilles de basilic émincées.
Quand sur la plage
Tous les plaisirs de l'été
Avec leurs joies
Venaient à moi
De tous côtés
L'amour offrait l'éternité
A cette image De la plage ensoleillée
C'est bien dommage Mais les amours de l'été Bien trop souvent Craignent les vents En liberté Mon cœur cherchant sa vérité Vient faire naufrage Sur la plage désertée.
Le sable et l'océan Tout est en place De tous nos jeux pourtant Je perds la trace Un peu comme le temps La vague efface L'empreinte des beaux jours De notre amour.
Mais sur la plage Le soleil revient déjà Passe le temps Le cœur content Reprend ses droits A l'horizon s'offre pour moi Mieux qu'un mirage Une plage retrouvée Mieux qu'un mirage C'est la plage ensoleillée.
Un must à Marrakech est évidemment une visite au Jardin de Majorelle. Nous avons pris une calèche pour nous y rendre. A l'arrivée vers 14 heures nous nous installons d'abord à la terrasse du Café Marjorelle pour manger une variété de salades savoureuses.
Le texte suivant est un assemblage de plusieurs documents trouvés sur internet : Wikipedia, Marie Claire...
Le jardin Majorelle est un jardin botanique touristique d'environ 300 espèces sur près d'1 hectare (10.000m2), une villa Art déco et un musée de l'Histoire des Berbères.
Le jardin est baptisé du nom de son fondateur, l'artiste peintre français Jacques Majorelle, quiy construira une maison d'architecte en 1929. Il s'y est installé pour créer un jardin oriental. Mais le grand changement arrive en 1937, lorsque Jacques Majorelle crée le bleu Majorelle, ce bleu puissant entre le bleu outremer et le bleu cobalt, lumineux et fort à la fois. Les murs de sa villa en seront couverts, et c'est ce bleu qui fera la renommée du lieu.
A sa mort le jardin est laissé à l'abandon durant plusieurs années.
Yves Saint Laurent et Pierre Bergé découvrent le Jardin Majorelle en 1966, au cours de leur premier séjour à Marrakech. Ils achètent le jardin Majorelle en 1980. Les nouveaux propriétaires décident d’habiter la villa de l’artiste, rebaptisée Villa Oasis, et entreprennent d’importants travaux de restauration du jardin pour « faire du jardin Majorelle le plus beau jardin, celui que Jacques Majorelle avait pensé, envisagé ».
Le couturier a renforcé le bleu Majorelle pour le rendre encore plus éclatant, et c'est lui qui a ajouté le jaune d'or, l'orange et le vert, avec son ami le décorateur Jacques Grange qui a entièrement décoré la villa Oasis dans un style orientaliste et baroque.
Ensemble, Yves Saint Laurent et Pierre Bergé habiteront la villa Oasis et s'y rendront souvent, notamment avant chaque création de collection du couturier. C'est ici qu'Yves Saint Laurent dessine à longueur de journée, car « depuis de nombreuses années, je trouve dans le jardin Majorelle une source inépuisable d’inspiration et j’ai souvent rêvé à ses couleurs qui sont uniques ».
Le couple y organise des soirées des plus festives avec leurs proches. Chaque jour, le couple sort un peu plus d'une heure pour s'imprégner de l'ambiance de la ville, et retourne rapidement se ressourcer dans son cocon lumineux et poétique. À Marrakech et dans la villa Oasis, Yves Saint Laurent lâche prise. La ville devient son laboratoire de création.
La Maison Art Déco
À la suite de la disparition d'Yves Saint Laurent le à Paris, ses cendres sont dispersées dans la roseraie de la villa Oasis, où un mémorial est créé, composé d’une colonneromaine de Tanger, posée sur un socle où une plaque porte son nom.
Après cette visite nous rentrons au Riad en passant par la médina. Il fait déjà nuit, mais le quartier est toujours très animé et les habitants y font leurs courses à la fraîche.
Le lendemain nous aurons notre premier atelier de cuisine donné par des femmes marocaines.