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jeudi 10 janvier 2019

Restaurant Le Coq à l'Âne à Latour de France (66)

Quand nous avons une réunion du conseil d'administration de l'Association Dante Alighieri elle se tient d'habitude à notre siège à Perpignan. L'année dernière notre professoressa d'italien nous a proposé de la tenir chez elle à la maison et de déjeuner ensuite au restaurant dans son village. L’initiative a été appréciée par tous et en plus le restaurant choisi "Le Coq à l'âne" était vraiment très sympathique. Il n'y a pas beaucoup de choix au menu, mais c'est plutôt bon signe.

Quand j'ai vu en entrée du maquereau fumé, je suis tombée sur le c.., car le maquereau fumé est plutôt rare en France. Je le ramène toujours de Hollande. J'ai posé la question au propriétaire du restaurant qui m'a dit qu'il le faisait venir en effet de Hollande ! Je me demandais comment il a connu cette spécialité hollandaise, il m'a répondu qu'il était d'origine batave ! En effet, son nom de famille ne trompe pas !
La plupart des vins sont de vignerons du village ou des alentours. Le propriétaire est également caviste et les gens du village se trouvent autour d'un verre dans le bar. Le tout ensemble crée cette bonne ambiance que j'ai appréciée. 
Rillettes de maquereau fumé, chou rave et pomme râpée

Boulettes de bœuf, sauce tomate, purée et salade verte

Salade pomme et glace chocolat blanc
Ce petit restaurant sympa mérite mon carnet de bonnes adresses. L'ambiance, le service, la simplicité des plats, les bons vins et... bien sûr je suis une peu chauvine, le patron a du sang hollandais comme moi. Et entre compatriotes on se soutient. Rien de plus normal !

1 commentaire:

  1. Bonjour Clementine ,

    Tous mes Voeux pour la nouvelle année .

    Qu' elle couvre l'étal du poissonnier du supermarché de ST Laurent de "bouffis" mon régal. J'en ai acheté un , bien sec ,bien plein d'oeufs et parfumé à souhait ,il y a quelques mois.

    C'est ma "madeleine"...

    Grand-père Aimé en coupait un tronçon de 2 ou 3 cm qu'il faisait griller sur la braise de sarment de bois dans la cheminée
    Il me découpait des bouchées de pain (de quatre livres) les tartinait de beurre demi-sel que grand-mère Yvonne avait baratté puis moulé dans un moule en bois dessinant un contour dentelé et une grande fleur au centre .Puis venait l'instant magique ou il déposait un carré parfumé et brillant de hareng grillé .

    je ne sais pas s'il venait de Boulogne ou de chez vous .
    Dans les années 50 , on achetait aux colporteurs qui allaient de village en village , de maison en maison , comme les sardines (salées) ou les sardines"sans sel" préparées cérémonieusement crues (non grillées)........

    (je suis toujours surprise par la cuisine "moderne". A la maison , dans mon île , ou , on mangeait CRU , ou , on mangeait CUIT : JAMAIS entre les deux...POUR NE PAS ATTRAPER la cagade comme on dit ici . )

    J'ai osé à mon premier vrai caviar dire que je lui préférais le "bouffi" de grand-père .

    on trouve facilement les filets de hareng sous vide.J'aime moins.
    Les rillettes étaient faites avec j'imagine ?

    Je suis ravie que tu aies fait une belle rencontre....mais ,vous , les Hollandais ne détenez pas l'exclusivité du hareng-saur !

    Bon W-E
    Porte-toi bien

    Amitiés

    Geneviève

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