Stamppot aux haricots plats, oignon rouge et gouda vieux

Le "stamppot" néerlandais est un mélange de pommes de terre écrasées avec un autre légume. On le mange plutôt en hiver, mais cette recette rappelle plutôt le printemps et je l'ai préparée en juillet. Je n'étais pas convaincue à 100% quand j'ai commencé à la préparer, mais une fois dans l'assiette j'ai beaucoup aimée. Ce sont les tomates crues et les pickles d'oignon qui font la différence ! Une recette sans gluten, végétarienne.  

Quand je mets à jour l'index de mes recettes je me rends compte que je prépare souvent des recettes végétariennes, pourtant je ne suis pas végétarienne. J'aime manger une bonne viande de qualité, mais pas tous les jours. On nous appelle des flexitariens, je crois. Je n'aime pas trop les étiquettes. J'ai connu des végétariens, je les trouvais souvent tristes, un visage aux joues creuses, une peau tannée et accros à la course à pied. Certains ont un blog de recettes de cuisine : quelle tristesse, leurs recettes avec du tofu, seitan, des graines et autres horreurs. J'ai essayé ces produits par curiosité, je veux toujours tout découvrir, mais non, je les trouve carrément inesthétiques et pas bons du tout. Et pourtant on peut faire des repas savoureux, sains et appétissants avec des légumes, légumineuses, des épices, des œufs etc. Bref j'ai dit ce que j'avais sur le cœur et désolée pour les végétariens.

Ingrédients :

1 kg de pommes de terre fondantes
400 g de haricots plats coupés en morceaux de 2 cm
3 oignons rouges moyens
50 ml de vinaigre de vin blanc
500 g de tomates cerises
2 càs d'huile d'olive extra vierge
100 g de gouda vieux râpé

Préparation :

Eplucher les pommes de terre et couper en morceau
Cuire dans de l'eau salée pendant 20 minutes
Ajouter les haricots plats les dernières 5 minutes

Couper pendant ce temps les oignons en fines tranches
Déposer dans un petit saladier et verser 50 ml d'eau bouillante (des pommes de terre) dessus et ajouter le vinaigre
Laisser refroidir en mélangeant de temps en temps
Couper les tomates en deux

Egoutter les pommes de terre et les haricots plats et remettre dans le faitout
Ecraser les pommes de terre à l'aide d'une fourchette, sans trop
Incorporer les tomates, l'huile d'olive et le fromage
Poivrer et saler
Garnir avec quelques tranches d'oignons égouttés et servir le reste des oignons séparément
Les oignons se gardent 1 semaine dans une boîte hermétique au frigidaire.

Recette du magazine néerlandais Allerhande

Le groupe néerlandais Room Eleven

Soupe aux fanes de carottes 2

Depuis que j'ai décidé de ne plus jeter les fanes des carottes je les transforme en soupe. Un premier essai m'a convaincue et j'ai commencé à chercher d'autres recettes. Celle-ci vient d'un site bio belge.

Ingrédients :

1 bouquet de jeunes carottes

1 poireau

1 grande pomme de terre

1 oignon

1 gousse d'aill

1 clou de girofle

200 g de ricotta

1 cuillère à soupe de beurre

1,5 l d'eau 

1 cube de bouillon de légumes

1 cuillère à soupe de cumin en poudre

poivre noir 

sel

Préparation :

Dissoudre le cube de bouillon dans de l'eau chaude
Hacher grossièrement l'oignon et l'ail
Couper le blanc du poireau et la majeure partie du vert en morceaux grossiers
Couper les 2/3 des fanes de carottes (la partie inférieure proche de la racine est très amère et inutilisable) et cueillir les feuilles
Laver soigneusement
Couper les carottes en tranches de 1/2 cm d'épaisseur
Épluchez la pomme de terre et coupez-la en morceaux grossiers

Faire fondre le beurre dans une grande marmite
Faire revenir l'oignon et l'ail
Ajouter la poudre de cumin avec les morceaux de pommes de terre, le poireau et les fanes de carottes
Verser dessus le bouillon de légumes et porter à ébullition
Laisser mijoter 30 minutes à feu très doux
Ne mettez pas le couvercle sur la marmite, ainsi la soupe conserve une belle couleur verte

Séparément cuire à la vapeur les tranches de carottes pendant 20 à 25 minutes jusqu'à ce qu'elles soient al dente
Mixer la soupe et assaisonner avec du poivre noir et du sel

Répartir la soupe dans 4 bols ou assiettes creuses et répartir les tranches de carottes dessus
Garnir chaque assiette avec une cuillerée de ricotta
Verser un filet d'huile d'olive dans les assiettes

Servir avec des grissini.

Sorèze (Le Tarn) 1

Retour au 11 mai
Vendredi 12 mai 2023

Quand j'ai reçu l'invitation du Club Culture de l'Association NVLR pour visiter Sorèze dans le Tarn j'ai répondu tout de suite oui car j'aime bien découvrir les lieux que je ne connais pas. Après coup j'ai étudié la carte de la France et je me suis rendue compte que cette ville se trouve à 180 km de chez moi. Alors j'ai décidé de profiter du déplacement en y ajoutant une journée pour visiter la région. 

Après avoir visité Carcassonne, Roquefère, Brousses et Villaret et Montolieu je me dirige en fin d'après midi vers Sorèze où j'ai réservé une chambre à l'Hôtel Le Moulin de l'Abbaye. La propriétaire de l'hôtel m'avait appelée dans l'après midi car elle devait s'absenter quelques instants et voulait savoir à quelle heure je pensais arriver pour être présente à mon arrivée. J'ai trouvé cela très correct. 

J'ai été sous le charme du lieu et si vous n'êtes pas accro à la télé ni au wifi et si vous ne demandez pas le luxe, mais plutôt la tranquillité je peux vous recommander cet hôtel avec des chambres correctes avec accès à pas mal de facilités : bibliothèque, jeux de société, une cuisine équipée pour préparer vos repas. J'ai beaucoup apprécié le cadre :

Découverte de l'Hôtel

L'Entrée de l'Hôtel

Le hall de l'Hôtel

Le terrain de l'hôtel

Le terrain de l'hôtel

Le vendredi matin 12 mai je rejoins les participants à la visite de la ville de Sorèze, au pied de la Montagne noire. Nous avons rendez-vous au parking qui se trouve à l'entrée de la ville. Nous allons visiter en premier lieu l'Abbaye, puis le musée Dom Robert. Nous déjeunerons au Restaurant St.-Martin et nous finirons notre escapade avec une balade dans le centre historique de Sorèze.                                                                          

Le Restaurant Saint Martin où nous déjeunerons après la visite de l'Abbaye

Cette Abbaye-école bénédictine, fondée en 754 au pied de la Montagne Noire, doit sa renommée au mode d’enseignement novateur qu’elle mit en place dès le XVIIe siècle jusqu’à sa fermeture en 1991. Pour accueillir les enfants qui arrivent pour étudier, on crée un nouveau bâtiment doté de salles de classes et de dortoirs puis deux ailes dédiées à l’enseignement des sciences et des arts.

L'Entrée de l'Abbaye Ecole

Sa notoriété est telle qu’elle est érigée sous Louis XVI en École royale militaire et accueille en ses murs des élèves de toutes les parties du monde. On crée alors une quatrième aile pour accueillir l’enseignement militaire et celui des langues étrangères.

Les jeunes nobles sont éduqués avec discipline sur le plan culturel et physique, pour en faire des gentilshommes accomplis. 

Après la Révolution, les écoles royales sont supprimées. Un ex-bénédictin, rachète les bâtiments de l’école de Sorèze et en prend la direction. L’abbaye devient alors une école privée pendant de longues années notamment sous la direction du Père Lacordaire qui contribuera à donner un nouveau souffle à cette institution entre 1854 et 1861 .

L’enseignement y était très strict. Les élèves portaient un uniforme et étaient divisés selon leur âge et reconnaissables à la couleur de leur uniforme. Le vert pour les primaires, le jaune pour les collégiens, le bleu pour le début du lycée et le rouge pour la terminale.

La Chapelle

Beaucoup d'élèves illustres ont fréquenté l'école : écrivains, académiciens, scientifiques, soldats, artistes, militaires. Pour en citer quelques uns : Claude Nougaro (auteur compositeur, chanteur) Hugues Aufray* (auteur compositeur, chanteur, sculpteur), Henri Ey (psychiatre), les frères Bogdanoff (présentateurs d'émissions à la télévison),  Simon Bolivar (ancien président de Bolivie), etc etc

Les chambres étaient des cellules étroites où les élèves avaient pour tout mobilier un lit et cette chaise cathédrale qui servait à la fois de chaise, de table de nuit et de porte-manteau.

La cellule de Hugues Aufray

La Salle des Illustres

Dans a salle des Illustres les rentrées scolaires, dominicales, et fêtes s’y sont succédées sous l’œil solennel des 52 bustes des célèbres élèves de l’Ecole. 

Le joli plafond peint de la salle des illustres

A l’issue de leur scolarité, les « rouges » (élèves de dernière année) avaient pour coutume de graver leur nom sur les murs de la cour, laissant ainsi pour l’éternité une trace de leur passage.

 

L’abbaye servira ainsi d’école jusqu’en 1991 où la vétusté des lieux impose sa fermeture malgré la volonté d'un groupe de personnes habitant la région après avoir vu passer 23 000 élèves ! Le site est racheté en 1993 par la collectivité avec l’aide de partenaires privés. Des travaux de restauration ont par la suite été entrepris pour permettre d’ouvrir l’abbaye à la visite.

Notre visite de l'Abbaye n'est pas encore terminée.

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*La mère d'Hugues Aufray s'est réfugiée avec ses enfants en zone libre et plus précisément à Sorèze pendant la guerre. Hugues a été élevé avec ses deux frères à cette école de 1941 à 1946.

Sa formation en musique, en dessin et en poésie l'a beaucoup inspiré, ses professeurs aussi.  Il y a appris à monter à cheval, car sa passion pour les chevaux est née dans ce collège où il pratiquait aussi l'équitation. Une époque dont il se souvient avec une incroyable précision. Quatre années qui l'ont marqué à jamais. «La période la plus heureuse de ma vie», n'hésite pas à dire le chanteur. A l'occasion de ses 90 ans il y a donné un concert.  L'artiste y est toujours resté très attaché.

Tian provençal de légumes

Maintenant qu'il y a abondance de légumes d'été chez le producteur du coin j'en profite à fond. 

Ma "récolte" de la journée

Et avec les températures caniculaires on aime manger des plats légers de légumes. Aujourd'hui j'ai choisi pour le tian.

Un tian en Provence c'est le nom du plat en terre cuite vernissé, mais il désigne aussi son contenu comme le tajine au Maroc ou la cataplana au Portugal. Je n'ai pas de plat en terre cuite au format adéquat, donc je me suis contentée d'un moule à manqué.

Vous adapterez la quantité de légumes à vos besoins et à votre plat. Le tian se mange chaud aussi bien que froid.

Séguret (Provence)

Ingrédients :

1 aubergine 
1 courgette verte
1 courgette jaune
1 oignon rouge
2 tomates
1 gousse d'ail coupée en fines lamelles
sarriette
origan
marjolaine

2 feuilles de laurier

thym
romarin
sel et poivre

huile d'olive extra vierge

Préparation :

Préchauffer le four à 180°

Couper tous les légumes en tranches
Huiler le plat à gratin 
Disposer dans le plat les rondelles de légumes sur la tranche en les alternant pour un joli effet visuel
Insérer les lamelles d'ail et les feuilles de laurier entre les tranches de légumes
Saupoudrer d'herbes de Provence : sarriette, origan, marjolaine thym, romarin
Saler et poivrer
Verser un généreux filet d'huile d'olive sur les légumes

Couvrir le plat d'une feuille d'aluminium et enfourner 30 minutes
Découvrir puis remettre au four encore 30 minutes

J'ai servi le tian avec des côtelettes d'agneau grillées

Il m'en restait pour le lendemain que j'ai réchauffé au four gratiné au parmesan :

Friselle aux tomates

 

Tellement simple et pourtant si bon !  Les friselle sont une sorte de biscottes en forme de bagel, un produit des Pouilles Ces cercles de pâte sont cuits au four, ensuite on les coupe dans le sens de l'épaisseur en on les remet au four pour une deuxième cuisson. 

Lecce (les Pouilles)

Le résultat est beaucoup plus dur qu'une biscotte telle que nous la connaissons. Ce pain était destiné aux marins. Il va sans dire qu’en des temps reculés, peu d’aliments étaient en mesure d’être conservés alors que les friselle, une fois sèches, pouvaient être stockées pendant de longues périodes. Cependant, elles étaient trop dures pour être consommées de la même façon que le pain; elles devaient donc être amollies dans de l’eau de mer et aspergées d’huile d’olive extra vierge. 

Vous les trouverez dans les épiceries italiennes, chez Eataly où je les ai achetées, ou sur internet.

Bari (Les Pouilles)

Au fil du temps, ce plat simple et modeste est devenu un mets délicat qui joue un rôle important dans la tradition culinaire du sud de l’Italie. Pour amollir les friselle on utilise dans les Pouilles une "sponza frise" qui est un bol avec une "plate-forme" qui couvre à moitié le dessus, utile pour placer les frises après les avoir mouillées. Les trous présents permettent à l'eau de s'écouler puis de l'assaisonner.

Sponza frise

Les friselle doivent rester compactes et croquantes à l'intérieur et ne doivent pas casser. La recette traditionnelle de base est comme pour les bruschettas : les garnir de tomates.

Ingrédients :

4 friselle
400 g de tomates bien mûres
huile d'olive extra vierge
sel et poivre

Préparation :

Couper les tomates en petits cubes
Dans un saladier mélanger les tomates avec du sel et laisser macérer, elles vont lâcher du jus
Sortir les tomates à l'aide d'une écumoire

Tremper le friselle quelques secondes dans le jus que les tomates ont lâché et s'il n'y en a pas assez ajouter un peu d'eau. 

Garnir les friselle avec les cubes de tomates, poivrer et ajouter un généreux filet d'huile d'olive vierge.

Sinead O'Connor 8/12/1966 - 26/07/2023

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Salade de poisson

Encore une recette qui figurait depuis très longtemps sur ma to do list. J'aime bien le mélange de haricots blancs avec du poisson. Quand j'habitais encore en Hollande j'étais abonnée au magazine Knip de patrons de couture. Je faisais beaucoup de couture pour moi même et les enfants et avec succès. En quatrième de couverture du magazine figuraient des recettes à découper et à mettre dans des petites pochettes en plastique prévues pour. Et le tout se rangeait dans une petite boîte carrée. Tant d'années après j'ai toujours cette boîte avec son contenu et la recette d'aujourd'hui sort de cette fameuse boîte orange. 

Ingrédients :

400 g de filet de poisson blanc
1 boîte de haricots blancs de 400 g
1 dl de mayonnaise
1 càs de moutarde
jus de citron
1 càs de ketchup de tomate
4 œufs durs
2 tomates
12 olives noires
feuilles de salade

Préparation :

Pocher le poisson dans de l'eau frémissante salée et laisser refroidir

Mélanger la moutarde et le ketchup à la mayonnaise et ajouter un peu de jus de citron

Couper le poisson en morceaux et mélanger aux haricots blancs

Incorporer délicatement à la sauce à la mayonnaise

Réserver au moins 1 heure au frais

Poser quelques feuilles de salade sur les coquilles d'un St.-Jacques

Dresser la salade de poisson dessus

Garnir avec des tranches d'œufs durs, des tranches de tomates et les olives dénoyautées.

Pour mes lecteurs néerlandais :
Où Liesbeth raconte qu'elle était amoureuse de Ramses, et qu'elle voulait se marier avec lui, mais qu'elle n'avait pas réussi à le convaincre

 

Vacances aux Pays-Bas avril 2023 - Laren

Retour à dimanche matin

Dimanche après-midi 23 avril 2023

Nous avons quitté Giethoorn sous un ciel menaçant et une fois arrivés à Laren nous avons eu droit à une petite pluie. Une bonne raison pour nous abriter dans le Poffertjeskraam. 

Poffertjeskraam

C'est un endroit, le plus souvent une concession démontable, où l'on peut manger des poffertjes, c'est à dire des mini crêpes à la farine de sarrasin. Les "Poffertjes" contiennent une poudre à lever (levure, levure chimique) pour les faire gonfler. C'est de là que viendrait le nom "poffertje". "Poffen" = "gonfler". C'est une spécialité typiquement hollandaise. On en trouve dans les foires et kermesses. Mais il y en a aussi qui sont installés de façon quasi permanente comme ici à Laren (de mars à septembre). Il faut dire que dans ce village d'artistes ce commerce très typique qui respecte les traditions ne dénote pas du tout : il possède un intérieur authentique : rideaux de dentelle, plafonds en lin et mobilier en bois du XIXe siècle.

Le décor, l'odeur, la rotation ultra-rapide des poffertjes avec la fourchette, mais surtout le goût et la qualité sans précédent de la pâtisserie font de cet établissement une attraction pour petits et grands !

Ce commerce à Laren est le plus vieux "Poffertjeskraam" des Pays-Bas et ce que j'aime bien c'est que sur le côté droit et gauche de l'établissement il y a comme des "isoloirs" à rideaux où les clients sont séparés des autres clients qui occupent les tables au centre. On les appelle avec un nom bien néerlandais : "séparés".

Ici une vidéo de cet établissement à Laren et une interview (en néerlandais) avec le propriétaire et ci-dessous une vidéo de mon fils :

Une isoloir avec les traditionnels rideaux en dentelle

Nous avons choisi de nous installer dans un "séparé". Bien sûr personne ne ferme les rideaux.

Traditionnellement on sert les poffertjes avec une grosse noix de beurre et du sucre glace.

ou pour les gourmands comme ma petite fille avec de la crème chantilly en supplément. La carte les propose également avec du Grand Marnier, ou du gingembre, ou du rhum. 

Quand j'ai dit à ma petite fille que dans le passé je faisais régulièrement des poffertjes à la maison et que j'avais toujours tout le matériel pour (plaque en fonte avec des fossettes ainsi que le flacon doseur pour la pâte), mais que je ne l'utilisais plus que pour cuire les œufs de caille, elle a "exigé" que je lui prépare dès notre retour en France des poffertjes. Elle adore tous ces streetfoods hollandais... et je suis bien contente qu'elle ait pris un peu de mes racines hollandaises. Elle adore aller en Hollande.

Œufs de caille

J'ai intérêt à m'entraîner car cela fait longtemps que je n'en ai pas fait. Une fois rodée je l'inviterai.

Pour finir mon article sur le village de Laren : on y respecte beaucoup les canards :

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Musique du compositeur néerlandais Daniël Lohues

Salade de fruits

Avec le grand choix de fruits de la saison on peut composer une belle salade de fruits colorée.

Ingrédients :

kiwis
mangue
myrtilles
abricots
raisins verts sans pépins

banane
jus de citron

Préparation :

Laver tous les fruits

Couper les kiwi en tranches, la mangue en tranches, les abricots en quartiers, la banane en tranches, les raisins en deux
Mélanger tous les fruits et y verser le jus d'un citron

Je n'ai pas ajouté du sucre, mais rien ne vous empêche d'en ajouter.

 

Gratin au halloumi, tomates et poivron

Pour finir un halloumi qui me restait au frigo je me suis inspirée d'une recette du blog Les filles à table, mais j'ai remplacé la boîte de tomates par le coulis de tomate fait maison d'après la recette de Jean-François Piège. Le halloumi est un fromage originaire de Chypre qui ne fond pas à la cuisson.

Ingrédients :

200 g de halloumi

1 poivron rouge

400 g de coulis de tomate 

2 petits oignons frais

1 gousse d’ail

1 cuil. à café de cassonade

1 brin de thym

1/2 cuil. à café de paprika fumé (Pimenton de la Vera)

1 cuil. à café de cumin en poudre

quelques brins de menthe

huile d’olive

sel, poivre

Préparation :

Laver le poivron et les oignons

Couper le poivron en petits morceaux

Eplucher l’ail et le hacher

Emincer les oignons

Faire chauffer un bon filet d’huile d’olive dans une poêle

Faire revenir les oignons avec le poivron et l’ail pendant 5 minutes

Rajouter ensuite les épices, le coulis de tomate, la cassonade et le brin de thym Assaisonner et laisser cuire à petit frémissement pendant environ 30 minutes

Si besoin, rajouter un fond d’eau.

Préchauffer le four à 180°

Couper le halloumi en tranches

Effeuiller et ciseler la menthe

Verser le contenu de la poêle dans un plat à four, recouvrir des tranches de fromage et enfourner pendant environ 10 minutes. Le fromage doit être légèrement gratiné

Parsemer de menthe avant de servir.